SEMINARIO 3

LA IMPLEMENTACIÓN DE LA VIDA EN LA TIERRA

1.- Los primeros seres humanos

2.- La evolución del pensamiento humano

  3.- La Tierra reconocida como mundo habitado

  4.- Las vicisitudes de la vida

  5.- Las técnicas evolutivas de la vida

TEXTO RECIBIDO: (extractos de El libro de Urantia y Moussa NDAYE)

INTRODUCCIÓN

(por DC)

Para poder entender este texto, es bueno tener algunas indicaciones adicionales. La hoja adjunta explica la creación de la tierra (Urantia) luego la aparición de la vegetación y el reino animal. Pero quién trajo esta creación y cómo se hizo. Para esto una pequeña explicación sobre los PORTADORES DE VIDA por los cuales también recibimos el texto a continuación. El protoplasma, la base de la vida, (2º seminario) es traído por los portadores de la vida. Estas entidades (biólogos) son las encargadas de instalar la vida en un planeta recién creado y materialmente habitable, según los criterios elegidos por la creación.

En este texto habla un portador de vida con un lenguaje comprensible para nosotros. Responde a nuestras preguntas: ¿Cómo llegó la humanidad a la tierra? ¿Cómo y cuándo se asentó el pensamiento humano original?

página 707)

El nacimiento de los dos primeros seres humanos es exactamente 993.419 años antes del año 1934 de la era cristiana. (2006 = 993’491 años)

Estas dos notables criaturas eran seres humanos reales. Poseían un pulgar humano perfecto como muchos de sus antepasados, pero también tenían pies tan bien formados como los de las razas humanas actuales. Estos seres eran caminantes y corredores, no trepadores; la función prensil del dedo gordo del pie estaba ausente, completamente ausente. Cuando el peligro los persiguió hasta las copas de los árboles, treparon tal como lo harían los humanos modernos. Trepaban por los troncos de los árboles como osos, no como chimpancés o gorilas, balanceándose de rama en rama.

(A estos dos seres se les dio el nombre de Andon, por el niño, que es un nombre nebadoniano y significa “la primera criatura parecida al Padre que muestra una sed de perfección humana”. Fonta, la niña, significa “la primera criatura como el Hijo y mostrando una sed de perfección humana”.)

Ces premiers êtres humains (et leurs descendants) devenaient pleinement adultes à douze ans et avaient une durée de vie potentielle d’environ soixante-quinze ans.

De nombreuses émotions nouvelles apparurent de bonne heure chez les deux jumeaux humains. Ils éprouvaient de l’admiration tant pour les objets que pour les autres êtres et faisaient montre d’une extrême vanité. Mais le progrès le plus remarquable dans leur développement émotionnel fut l’apparition soudaine d’un nouveau groupe de sentiments vraiment humains, les sentiments d’adoration comprenant la crainte, le respect, l’humilité et même une forme primitive de gratitude. La peur, jointe à l’ignorance des phénomènes naturels, était sur le point de donner naissance à la religion primitive.

Non seulement ces sentiments humains se manifestaient, mais beaucoup de sentiments plus hautement évolués étaient également présents sous une forme rudimentaire. Ces humains primitifs avaient modérément conscience de la pitié, de la honte et de l’opprobre, et une conscience très aiguë de l’amour, de la haine et de la vengeance ; ils étaient également susceptibles d’éprouver des sentiments marqués de jalousie.

Les deux premiers humains — les jumeaux — furent une grande épreuve pour 

leurs parents primates. (qui eux n’avaient pas de personnalités) Ils étaient si curieux et si aventureux qu’ils faillirent perdre la vie en de nombreuses occasions avant d’avoir huit ans. Quoi qu’il en soit, ils étaient sérieusement couverts de cicatrices au moment où ils eurent douze ans.

Ils apprirent très tôt à communiquer verbalement. À l’âge de dix ans, ils avaient élaboré un langage plus perfectionné de signes et de mots comportant une cinquantaine d’idées, et largement amélioré et élargi les techniques rudimentaires de communication de leurs ancêtres. En dépit de leurs efforts, ils ne purent enseigner à leurs parents que très peu de leurs signes et symboles nouveaux.

Vers leur neuvième année, ils s’en allèrent un beau jour le long de la rivière et eurent un important entretien. Toutes les intelligences célestes stationnées sur Urantia, y compris moi-même, étaient présentes et observaient le déroulement de ce rendez-vous de midi. Au cours de ce jour mémorable, ils convinrent de vivre l’un avec l’autre et l’un pour l’autre ; cette entente fut la première d’une série d’accords qui culminèrent dans la décision de fuir leurs compagnons animaux inférieurs et de partir vers le nord, sans bien savoir qu’ils allaient ainsi fonder la race humaine.

Nous étions tous très préoccupés par les projets de ces deux petits sauvages, mais 

Ces premiers êtres humains (et leurs descendants) devenaient pleinement adultes à douze ans et avaient une durée de vie potentielle d’environ soixante-quinze ans.

De nombreuses émotions nouvelles apparurent de bonne heure chez les deux jumeaux humains. Ils éprouvaient de l’admiration tant pour les objets que pour les autres êtres et faisaient montre d’une extrême vanité. Mais le progrès le plus remarquable dans leur développement émotionnel fut l’apparition soudaine d’un nouveau groupe de sentiments vraiment humains, les sentiments d’adoration comprenant la crainte, le respect, l’humilité et même une forme primitive de gratitude. La peur, jointe à l’ignorance des phénomènes naturels, était sur le point de donner naissance à la religion primitive.

Non seulement ces sentiments humains se manifestaient, mais beaucoup de sentiments plus hautement évolués étaient également présents sous une forme rudimentaire. Ces humains primitifs avaient modérément conscience de la pitié, de la honte et de l’opprobre, et une conscience très aiguë de l’amour, de la haine et de la vengeance ; ils étaient également susceptibles d’éprouver des sentiments marqués de jalousie.

Les deux premiers humains — les jumeaux — furent une grande épreuve pour 

leurs parents primates. (qui eux n’avaient pas de personnalités) Ils étaient si curieux et si aventureux qu’ils faillirent perdre la vie en de nombreuses occasions avant d’avoir huit ans. Quoi qu’il en soit, ils étaient sérieusement couverts de cicatrices au moment où ils eurent douze ans.

Ils apprirent très tôt à communiquer verbalement. À l’âge de dix ans, ils avaient élaboré un langage plus perfectionné de signes et de mots comportant une cinquantaine d’idées, et largement amélioré et élargi les techniques rudimentaires de communication de leurs ancêtres. En dépit de leurs efforts, ils ne purent enseigner à leurs parents que très peu de leurs signes et symboles nouveaux.

Vers leur neuvième année, ils s’en allèrent un beau jour le long de la rivière et eurent un important entretien. Toutes les intelligences célestes stationnées sur Urantia, y compris moi-même, étaient présentes et observaient le déroulement de ce rendez-vous de midi. Au cours de ce jour mémorable, ils convinrent de vivre l’un avec l’autre et l’un pour l’autre ; cette entente fut la première d’une série d’accords qui culminèrent dans la décision de fuir leurs compagnons animaux inférieurs et de partir vers le nord, sans bien savoir qu’ils allaient ainsi fonder la race humaine.

Nous étions tous très préoccupés par les projets de ces deux petits sauvages, mais

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Estos primeros seres humanos (y sus descendientes) llegaron a ser completamente adultos a la edad de doce años y tenían una esperanza de vida de unos setenta y cinco años.

Muchas emociones nuevas aparecieron temprano en los dos gemelos humanos. Tenían admiración tanto por los objetos como por otros seres y mostraban una vanidad extrema. Pero el avance más notable en su desarrollo emocional fue la repentina aparición de un nuevo grupo de sentimientos verdaderamente humanos, los sentimientos de adoración que incluían asombro, respeto, humildad e incluso una forma primitiva de gratitud. El miedo, junto con la ignorancia de los fenómenos naturales, estuvo a punto de dar a luz a la religión primitiva.

No sólo se manifestaron estos sentimientos humanos, sino que muchos sentimientos más altamente evolucionados también estuvieron presentes en una forma rudimentaria. Estos humanos primitivos tenían una conciencia moderada de la piedad, la vergüenza y el oprobio, y una conciencia muy aguda del amor, el odio y la venganza; también era probable que experimentaran marcados sentimientos de celos.

Los primeros dos humanos, los gemelos, fueron una gran prueba para

sus parientes primates. (que no tenían personalidad) Eran tan curiosos y tan aventureros que casi pierden la vida en numerosas ocasiones antes de los ocho años. De cualquier manera, estaban seriamente marcados cuando cumplieron doce años.

Aprendieron muy temprano a comunicarse verbalmente. A la edad de diez años, habían desarrollado un lenguaje más sofisticado de signos y palabras que contenían unas cincuenta ideas, y mejoraron y ampliaron en gran medida las técnicas rudimentarias de comunicación de sus antepasados. A pesar de sus mejores esfuerzos, pudieron enseñar a sus padres muy pocos de sus nuevos signos y símbolos.

Alrededor de su noveno año, fueron un buen día a lo largo del río y tuvieron una importante entrevista. Todas las inteligencias celestiales estacionadas en Urantia, incluyéndome a mí, estaban presentes y observaban el desarrollo de esta cita del mediodía. Durante ese memorable día, acordaron vivir el uno con el otro y el uno para el otro; este acuerdo fue el primero de una serie de acuerdos que culminaron en la decisión de huir de sus compañeros animales inferiores y dirigirse al norte, sin saber que así iban a fundar la raza humana.

Todos estábamos muy preocupados por los planes de estos dos pequeños salvajes, pero éramos impotentes para controlar el trabajo de sus mentes. No influimos arbitrariamente en sus decisiones, no pudimos, pero, dentro de los límites permisibles de nuestras funciones planetarias, nosotros los Portadores de Vida, de acuerdo con nuestros asociados, todos conspiramos para dirigir a los gemelos humanos hacia el norte, lejos de sus peludos parientes que viven parcialmente en los árboles. Entonces, por su propia elección inteligente, los gemelos emigraron, y debido a nuestra supervisión, emigraron al norte a una región apartada, donde escaparon de las posibilidades de degradación biológica mezclándose con las familias inferiores de las tribus de primates. .

Poco antes de dejar su bosque nativo, perdieron a su madre durante un ataque de gibones. Aunque no poseía su inteligencia, tenía, como mamífero, un admirable y alto grado de afecto por sus hijos, y valientemente sacrificó su vida en un intento por salvar a la maravillosa pareja. Su sacrificio no fue en vano, pues mantuvo a raya al enemigo hasta que llegó el padre con refuerzos y puso en fuga a los invasores.

Poco después de que la joven pareja abandonara a sus compañeros para fundar la raza humana, su padre primate se volvió inconsolable: estaba desconsolado. Se negaba a comer, incluso cuando sus otros hijos le traían comida. Habiendo perdido a su brillante descendencia, la vida ya no parecía digna de ser vivida entre sus compañeros ordinarios; por lo tanto, anduvo errante por el bosque, fue atacado por gibones hostiles y murió bajo sus golpes.

B. LA EVOLUCIÓN DE LA MENTE HUMANA (DEL PENSAMIENTO) (p.709)

62:6.1 (709.2) Nosotros, los Portadores de Vida en Urantia, habíamos pasado por la larga vigilia, aguardando atentos, desde el día en que plantamos por primera vez el plasma vital en las aguas planetarias, y naturalmente la aparición de los primeros seres realmente inteligentes y volitivos nos trajo gran júbilo y suprema satisfacción.

62:6.2 (709.3) Veníamos siguiendo el desarrollo mental de los gemelos mediante nuestra observación del funcionamiento de los siete espíritus ayudantes de la mente asignados a Urantia al tiempo de nuestra llegada al planeta. A través del largo desarrollo evolutivo de la vida planetaria, estos incansables ministros de la mente registraban constantemente su creciente habilidad de ponerse en contacto con las capacidades cerebrales sucesivamente en expansión de las criaturas animales progresivamente superiores.

62:6.3 (709.4) En un principio únicamente el espíritu de intuición pudo funcionar en el comportamiento instintivo y reflejo de la vida animal primordial. Con la diferenciación de los tipos superiores, el espíritu de la comprensión pudo dotar a tales criaturas del don de la asociación espontánea de ideas. Más adelante observamos al espíritu de la valentía en funcionamiento; los animales en trance de evolucionar desarrollaron en rigor una forma simple de autoconciencia de protección. Posteriormente a la aparición de los grupos de los mamíferos, observamos el espíritu del conocimiento manifestarse en creciente medida. La evolución de los mamíferos superiores trajo la función del espíritu del consejo, con el consecuente desarrollo del instinto gregario y los principios del desarrollo social primitivo.

62:6.4 (709.5) A través de los tiempos de los mamíferos protohumanos, los mamíferos intermedios y los primates, veníamos observando, más y más, el servicio incrementado de los cinco primeros ayudantes. Pero nunca habían podido funcionar los dos restantes, los ministros superiores de la mente, en el tipo urantiano de mente evolutiva.

62:6.5 (709.6) Imaginaos nuestro regocijo un día —cuando los gemelos tenían unos diez años— en que el espíritu de adoración hizo su primer contacto con la mente de la gemela y, poco tiempo después de esto, con la del gemelo. Sabíamos que algo muy semejante a la mente humana se acercaba a su culminación; y cuando, al año, resolvieron finalmente, como resultado de un pensamiento meditativo y de una decisión basada en un propósito, huir de la querencia y viajar al norte, entonces comenzó a funcionar el espíritu de la sabiduría en Urantia y en estas dos mentes ya reconocidas como humanas.

62:6.6 (709.7) Hubo una movilización inmediata y nueva de los siete espíritus ayudantes de la mente. Estábamos rebosantes de expectación; nos percatamos de que el momento que veníamos esperando desde hacía tanto tiempo se acercaba; sabíamos que estábamos en el umbral de la realización de nuestro dilatado esfuerzo para desarrollar criaturas volitivas en Urantia.

C. El Reconocimiento como un Mundo Habitado

El Reconocimiento como un Mundo Habitado

62:7.1 (709.8) No tuvimos que aguardar mucho tiempo. Al mediodía del día después de la huida de los gemelos, aconteció el ensayo inicial de la transmisión de las señales del circuito universal hacia el foco receptivo planetario en Urantia. Estábamos todos, desde luego, emocionadísimos al darnos cuenta de que el gran suceso era inminente; pero como este mundo era una estación experimental de vida, no teníamos la menor idea de cómo se nos informaría del reconocimiento de la vida inteligente en el planeta. Pero no duramos mucho tiempo en la incertidumbre. A los tres días de la huida de los gemelos, y antes de que el cuerpo de los Portadores de Vida partiera, arribó el arcángel de Nebadon del establecimiento inicial de circuitos planetarios.

62:7.2 (710.1) Fue un día dichoso y significativo en Urantia cuando se reunió nuestro pequeño grupo en torno al polo planetario de comunicación espacial y recibió el primer mensaje de Salvington mediante el recién establecido circuito planetario de mente. Este primer mensaje, dictado por el jefe del cuerpo de arcángeles, decía:

62:7.3 (710.2) «A los Portadores de Vida en Urantia —¡Saludos! Comunicamos la afirmación del gran gusto en Salvington, Edentia y Jerusem en honor del registro, en la sede central de Nebadon, de la señal de la existencia en Urantia de la mente volitiva. Se ha notado la decisión ex profeso de los gemelos de huir hacia el norte y de segregar su prole de sus antepasados inferiores. Ésta es la primera decisión de la mente —del tipo humano de mente— en Urantia y automáticamente establece el circuito de comunicación por el cual este mensaje inicial de reconocimiento se está transmitiendo.»

62:7.4 (710.3) A continuación, por este nuevo circuito pasaron los saludos de los Altísimos de Edentia, que contenían las instrucciones para los Portadores de Vida residentes prohibiéndonos interferir en el modelo de vida que habíamos establecido. Se nos exhortó a no intervenir en los asuntos del progreso humano. No debe deducirse, de ahí, que los Portadores de Vida se entrometen arbitraria y mecánicamente con el despliegue natural de los planes evolutivos de un planeta, pues no lo hacemos. Pero hasta este momento se nos había permitido manipular el medio ambiente y escudar el plasma vital de manera particular; y esta supervisión extraordinaria, pero del todo natural, habría de discontinuarse.

62:7.5 (710.4) En cuanto dejaron de hablar los Altísimos, el bello mensaje de Lucifer, que en aquel entonces era el soberano del sistema de Satania, comenzó a aplanetizar. En este momento los Portadores de Vida oyeron las palabras de bienvenida de su jefe y recibieron su permiso para volver a Jerusem. Este mensaje de Lucifer englobó la aceptación oficial del trabajo de los Portadores de Vida en Urantia y nos absolvió de toda crítica posterior a cualquiera de nuestros esfuerzos para mejorar los modelos de vida de Nebadon como se habían establecido en el sistema de Satania.

62:7.6 (710.5) Estos mensajes de Salvington, Edentia y Jerusem formalmente marcaron la terminación de la supervisión secular del planeta por los Portadores de Vida. Llevábamos muchísimas épocas de servicio, asistidos únicamente por los siete espíritus ayudantes de la mente y por los Controladores Físicos Decanos. Ahora bien, habiendo aparecido en las criaturas evolutivas del planeta la voluntad, el poder de optar por adorar y ascender, nos dimos cuenta de que se había terminado nuestro trabajo, y nuestro grupo se preparó a partir. Siendo Urantia un mundo de modificación de vida, se otorgó permiso para dejar atrás a dos Portadores de Vida veteranos con doce asistentes, y a mí me seleccionaron como uno de este grupo y desde entonces he permanecido en Urantia.

62:7.7 (710.6) Hace sólo 993.408 años (contando hasta el año 1934 d. de J.C.) que Urantia se reconoció formalmente como planeta de habitación humana en el universo de Nebadon. La evolución biológica nuevamente había conseguido los niveles humanos de dignidad volitiva; el hombre ya había llegado al planeta 606 de Satania.

IV. LAS VICISITUDES DE LA VIDA

Ha sido una fuente de pesar para nosotros, los Portadores de Vida, que todos nuestros esfuerzos por modificar la vida inteligente en el planeta Tierra se hayan visto parcialmente obstaculizados por trágicas perversiones fuera de nuestro control: la traición de Caligastia y el fracaso de Adán.

En toda esta aventura biológica, nuestra mayor decepción fue la reversión, en una escala tan vasta e inesperada, de algunas plantas primitivas a niveles preclorofílicos de bacterias parásitas. Este accidente de la vida vegetal ha causado muchas enfermedades angustiosas en los mamíferos superiores y particularmente en las especies humanas más vulnerables. Cuando nos encontramos frente a esta situación embarazosa, no le dimos demasiada importancia a estas dificultades, porque sabíamos que el suministro posterior del plasma adámico vital fortalecería la resistencia de la raza amalgamada resultante lo suficiente como para ponerla prácticamente al final. protegido de todas las enfermedades causadas por organismos vegetales, pero nuestras esperanzas se vieron frustradas por el desafortunado fracaso de Adán.

El Universo de universos, incluido el pequeño mundo del Planeta-Tierra, no se administra simplemente para satisfacer nuestra conveniencia o recibir nuestra aprobación, mucho menos para satisfacer nuestros caprichos o satisfacer nuestra curiosidad. Indudablemente los seres sabios y todopoderosos que se encargan del manejo del Universo saben exactamente lo que están haciendo; por lo tanto, conviene a los Portadores de Vida ya los mortales participar con paciente expectación y sincera cooperación en el gobierno de la sabiduría, el reino del poder y la marcha del progreso.

Por supuesto, hay ciertas compensaciones por las pruebas, como la Efusión del Espíritu de la Verdad y la Santificación en la tierra. Pero independientemente de todas estas consideraciones, los altos directores celestiales de vuestro planeta expresan su plena y completa confianza en el triunfo final de la evolución racial humana y en la reivindicación final de nuestros planes y patrones originales de vida.

P.710 – §7 [Patrocinado por un Portador de Vida de Nebadon que reside en Urantia.]

V. TÉCNICAS EVOLUTIVAS DE VIDA

Es imposible determinar con precisión y simultáneamente la posición exacta y la velocidad de un objeto en movimiento, cualquier intento de medir uno conduce inevitablemente a la modificación del otro. El hombre mortal enfrenta el mismo tipo de paradoja cuando emprende el análisis químico del protoplasma. El químico puede determinar la composición del protoplasma muerto, pero no puede percibir ni la organización física ni el funcionamiento dinámico del protoplasma vivo. El científico se acerca cada vez más a los secretos de la vida, pero nunca los descubrirá por la sencilla y única razón de que debe matar el protoplasma para poder analizarlo. El protoplasma muerto pesa lo mismo que el protoplasma vivo, pero no es lo mismo.

Las plantas y los seres vivos tienen un don original de adaptación. En cada célula viva vegetal o animal, en cada organismo vivo material o espiritual, hay un deseo insaciable de alcanzar una perfección cada vez mayor, ajustándose al medio que lo rodea, para adaptar el organismo y asimilar mejor la vida. Estos esfuerzos incesantes de todos los seres vivos prueban en ellos la existencia de una búsqueda innata de la perfección.

El paso más importante en la evolución de las plantas fue el desarrollo de la capacidad de producir clorofila, el segundo en importancia fue la transformación evolutiva de la espora en una semilla compleja. Como agente reproductivo, la espora es muy eficaz, pero carece de la variedad y versatilidad inherentes a la semilla. Uno de los episodios más complejos y útiles en la evolución de los tipos superiores de animales consistió en el siguiente desarrollo: el átomo de hierro contenido en las moléculas del torrente sanguíneo se hizo capaz de cumplir la doble tarea de transportar oxígeno y eliminar dióxido de carbono. Esta acción de los glóbulos rojos muestra cómo los organismos en evolución pueden adaptar sus funciones a las variaciones y cambios en el entorno circundante. Los animales superiores y el hombre oxigenan sus tejidos por la acción del hierro contenido en los glóbulos rojos, hierro que transporta el oxígeno a las células vivas y elimina el dióxido de carbono con la misma eficacia. Sin embargo, se pueden usar otros metales para el mismo propósito. La sepia usa cobre para esta función y el ultramar (óxido) usa vanadio.

Estos ajustes biológicos continúan, como lo demuestra la evolución de la dentición de los mamíferos superiores. Los antepasados ​​lejanos del hombre tenían hasta 36 dientes y luego comenzaron un reajuste a los 32 dientes del hombre primitivo y sus parientes cercanos. Actualmente la especie humana tiende a tener solo 28 dientes. El proceso evolutivo sigue activo y se está adaptando a las circunstancias del planeta.

Muchos ajustes aparentemente misteriosos de los organismos vivos son puramente químicos, totalmente materiales. En cualquier momento, es probable que ocurran más de 15 millones de reacciones químicas entre las secreciones hormonales de una docena de glándulas endocrinas en el torrente sanguíneo de un ser humano.

Las formas inferiores de vida vegetal responden totalmente al entorno físico, químico y eléctrico.

A medida que uno asciende en la escala de la vida, los ministros del pensamiento de los siete espíritus ayudantes entran en acción uno por uno, y el pensamiento viene cada vez más a ajustarse, crear, coordinar y dominar. La capacidad de los animales para adaptarse al aire, el agua y la tierra no es un don sobrenatural, no es un ajuste hiperfísico.

La física y la química por sí solas no pueden explicar cómo evolucionaron los seres humanos a partir del protoplasma primordial de los mares primitivos. La capacidad de aprender, la memoria y la sensibilidad diferencial al entorno que nos rodea son dones del pensamiento. Las leyes de la física no pueden ser cambiadas por la educación; son invariables e inmutables. Lo mismo ocurre con las reacciones químicas: son uniformes e intangibles. Fuera del presente del Absoluto Incondicionado, las reacciones químicas y eléctricas son predecibles.

El pensamiento, por otro lado, puede aprender de la experiencia y aprender de los hábitos reactivos del comportamiento en respuesta a la repetición de estímulos.

Los organismos preinteligentes responden a los estímulos ambientales, pero los organismos que responden al ministerio del pensamiento pueden manipular y ajustar el propio entorno circundante.

El cerebro físico y el sistema nervioso asociado tienen una sensibilidad innata para el ministerio del pensamiento, así como el pensamiento en evolución de una personalidad tiene cierta capacidad innata para la receptividad espiritual; por lo tanto, el pensamiento contiene los potenciales para el progreso y el logro espiritual.

La evolución intelectual, moral, social y espiritual depende del ministerio de los siete espíritus ayudantes de la mente y sus asociados hiperfísicos.

Aquí es bueno agregar que los padres de Andon y Fonta eran LEMURIANOS de aproximadamente 1,60 m. Quedan muy pocos lémures en el mundo, conocemos sobre todo los de Madagascar que se mueven saltando de lado. La famosa “LUCIE” fue probablemente un lémur. (Comentario de DC)

El hecho de que no tuvo más aportes en su decisión de irse confirma que tenían LIBRE ALBEDRÍO. Hábilmente, se separaron de su familia original para que no hubiera mestizaje.

Eran inteligentes, porque entendieron que el contacto con sus padres no les ayudaría a evolucionar. Así que estaban los ayudantes cooperantes y los poderes de la personalidad.

La llegada del ayudante de adoración y sabiduría a la tierra: este es el mecanismo físico para que venga el mecanismo mental. La reunión de la coordinación de los portadores de vida y ayudantes. ¡Conozcamos cómo combinar: cuerpo + mente + personalidad y cómo usarlo de manera inteligente!

Mi vida es un proyecto, para llegar a ser como Dios, ¡tengo que realizarme a mí mismo! Dios ya está ahí si yo lo quiero, yo aún no lo estoy así que busquemos el camino en mi personalidad. El trabajo hay que hacerlo, TÚ tienes que SER YO – para estar sinceramente convencido – existo y siempre quiero existir. ¡Mis 7 ayudantes están allí, por lo que mi Ajustador/Dios (cuarto seminario) debe ser conocido y ser! Cada día un poco más, el crecimiento sigue, no me entero aquí y ahora, así que hay que seguir. Cosas vivas… ¡busca y encuentra!

¿La relación entre el hombre y la tierra? ¿Qué le importa a Dios que el humano aparezca en la tierra dotado de inteligencia y voluntad? Una pregunta que aún nos haremos durante algún tiempo pero cuya respuesta poco a poco nos va llegando.

Aquí también necesitamos explicaciones para poder entender mejor el texto, para ello en la hoja adjunta un diagrama de los mundos, los planetas y el Cosmos.

Los hombres se ven obligados a conformarse con esta historia que se nos ha dado. Esta es la organización del Cosmos que estudiaremos más adelante. Aquí, estamos en el estudio del Humano.

Nos cuesta imaginar la complejidad lógica de la construcción del universo, pero todo está hecho para que los humanos puedan acceder a Dios. Los nombres utilizados o designaciones se explican a continuación:

circuito del universo

Enfoque receptivo en Urantia

Arcángel de Nebadon

Nebadón

Salvington

Cabeza del Cuerpo de Arcángeles

Edentia

Jerusem

dignidad volitiva

circuito de comunicaciones

Muy altos de Edentia

Lucifer

Satania

Controladores físicos maestros

Satania planeta 606

Nebadon es un circuito de comunicación planetaria. Aprendamos y no olvidemos trabajar nuestros circuitos, porque todos los circuitos de la realidad están en nosotros.

Próximamente recibiréis la continuación de estos escritos.

Los instigadores de estas páginas han sido Gaétan  G. Charland (Canadá), en colaboración con una lectora de Suiza, Doris Calmel. Traducción : Olga Lopez Para cualquier pregunta relacionada con estos escritos, podéis escribir a la siguiente dirección:

urantiaesp@gmail.com

1 – Estudio de la Creacion2 – El Estudio del EGO3 – La LA IMPLEMENTACIÓN DE LA VIDA 
4 – Ajustadores del Pensiamiento5 – Ayudantes de profundizacion6 – El Ajustadore y el Alma
7 – La Administracion divina8 – El  EGO – EL INDIVIDUO9 – Estudio del Persobalidad
10 – Las 7 Fases de la Vida-humana 11 – La Naturaleza de Dios12 – Los siete circulos psiquicos
13 – La Oracfion14 – Los Fundamentos de la fe Religioso15 – Super-Vivencia
16 – Los fondumentos de la FE religiosa17 – Educacion de mujeres y Hombres18 Resumen cronologico de URANTIA
19 – El Espirito Santo20 – Personalidades del Gran Universo21 –
Addio Moussa Ndiaye