Séminaire 15

LES FONDEMENTS DE LA FOI RELIGIEUSE

Plan du Cours

Introduction p.1

1. LES ASSURANCES DE LA FOI   p. 6

2. RELIGION ET RÉALITÉ   p.14

3. CONNAISSANCE, SAGESSE ET CLAIRVOYANCE   p.  30

4. LE FAIT DE L’EXPÉRIENCE    p.45

5. LA SUPREMATIE DU POTENTIEL D’INTENTION p.49

6. LA CERTITUDE DE LA FOI RELIGIEUSE p.52

7. LA CERTITUDE DU DEVIN    p 65

8. LES PREUVES DE LA RELIGION    p.  68

Dakar, Janvier 2006 – Genève, Avril 2007 – Broc 2023

LES FONDEMENTS DE LA FOI   RELIGIEUSE

FASCICULE 102

INTRODUCTION

Enregistrement : (cassette 1)

La foi chez l’individu est toujours l’attachement à quelque chose, ce qu’on appelle en français, une conviction ou une philosophie d’une chose, il en a qui aiment les math, les sciences naturelles qui aiment la philosophie, c’est véritablement leur foi, leur confiance dans ce domaine de savoir, cela les rassure. J’ai foi en la science, j’ai foi en la philosophie, j’ai foi en mon allié, c’est effectivement le mot CONFIANCE. La foi est une attitude de l’homme conforme à sa raison de vivre. On croit toujours à quelque chose. Il faut donc avoir foi en quelque chose. La science, sa foi c’est la relation avec la matière, cela aide au scientifique à sa raison de vivre, cela justifie sa vie et porte à sa vie ce qu’il lui faut, ce qu’il lui convient. 

Si c’est la médecine qui me plait, j’étudie. Si ce sont les mathématiques, je me repère par rapport des mathématiques, c’est toujours en rapport de ce que l’être aime et c’est profond. Pour eux, c’est la chose la plus profonde. La foi correspond à ce qui est très profond chez l’individu, ce sont les choses auxquelles il tient.

Dans le vocabulaire des hommes, le mot foi est employé tout autant pour la science, le travail de tout sa vie, des systèmes de pensées et des terminologies. On peut aussi avoir foi en la philosophie ce qui éclaire mieux l’être dans le domaine du savoir. Et il y en a aussi ceux qui ont foi en ce qu’on appelle la religion. L’homme de science pense qu’il va toujours connaître la matière et sa foi est de chercher la science. Le philosophe, lui, il a foi aux concepts et les idées des concepts pour clarifier son savoir. Le théologien, l’homme de religion, il croit en Dieu, sa foi c’est de chercher Dieu. La foi d’un religieux est de trouver Dieu, qui peut-être dans sa pensée et qui se définit comme la source de son être et de sa vie.

Depuis l’immortalité jusqu’à présent, dans chaque situation, je la partage avec Dieu, son Ajusteur. Cela veut dire la vivre avec sa volonté divine, ouverte à la nature divine, dans l’éternité et dans le temps. Il change le temps en éternité. Là, aussi il y a satisfaction de son être, il est certain de faire des choses qui ne périssent pas, qui vont toujours demeurées. (sixième niveau de la foi)

Et le septième niveau de la foi est que l’individu échappe à l’arrêt de l’existence, il veut toujours exister, mais ne plus être, “ cela ”, n’a pas de sens. Je ne connais que l’existence de la vie, je ne connais pas le néant. J’ai aucun goût de me faire anéantir, cela n’a pas de sens ! C’est comme cela que Dieu est aussi et en moi, par conséquence, je n’ai qu’à chercher à l’intégrer dans mon être. De ce point de vue de mon être est intégré en Dieu et cet être sera toujours et vivra toujours à l’infinité et ne cessera jamais d’exister. Quand l’homme arrive à cette prise de conscience de cet aspect de son être qui ne sont satisfaisant que par Dieu, il commencera sincèrement à avoir des résultats et commencera à éprouver l’entièreté et la sécurité

Donc, nous avons ici clarifier les fondements de la foi et ce fondement de la foi, j’ai presque envie de le dire avant de toucher le texte, parce que l’individu voit le fondement de la foi, il voit en partant de lui-même et bien entendu ou pourra dire en groupe que la foi doit être là.

Il est dit quelque part que l’Ajusteur attire la pensée humaine vers le fait de penser Dieu et que c’est de cela qu’émerge la foi, la fonction de l’Ajusteur, car Dieu a mis l’Ajusteur en l’homme parce que Lui avait foi en l’homme, donc il ne peut anéantir l’homme. Il a mis la foi, l’amour, sa raison d’être ici, ma volonté est de me donner à toi, espérant que toi tu vas me recevoir. C’est moi qui t’ai créé et qui t’a donné tout ce que tu as, c’est moi qui a créé tous ses besoins de ton être, donc, je suis là aussi pour les satisfaire. Donc, nous pouvons dire que le fondement de la foi c’est Dieu et l’autre fondement de la foi : c’est nous ! si ce ne serait pas, rien ne se passe ! Donc, après avoir analysé les différents aspects de la foi, on pourrait dire qu’enfin la foi est fondée à la bonne volonté humaine à vouloir connaître Dieu et Dieu, lui, il est déjà présent dans sa nature. Il est présent dans le fonctionnement de la foi, mais l’homme est aussi important.

POUR le matérialiste incroyant, l’homme est simplement un accident évolutionnaire. Ses espoirs de survivance sont liés à une fiction de son imagination de mortel ; ses frayeurs, ses amours, ses désirs et ses croyances ne sont que les réactions de la juxtaposition accidentelle de certains atomes de matière dépourvus de vie. Nul déploiement d’énergie, nulle expression de confiance ne peuvent le transporter au-delà du tombeau. Les œuvres de dévotion et le génie inspirant les meilleurs hommes sont condamnés à l’annihilation par la mort, à la longue nuit solitaire de l’éternel oubli et de l’anéantissement de l’âme. Un désespoir sans nom est la seule récompense de l’homme pour avoir vécu et travaillé sous le soleil temporel de l’existence mortelle. Chaque jour de la vie resserre lentement et sûrement l’emprise d’un destin impitoyable qu’un univers de matière, hostile et implacable, a décrété comme insulte suprême à tout ce qui est beau, noble, élevé et bon dans les désirs humains.

Ce premier paragraphe présente la pensée d’un matérialiste complètement déformé et qui a toujours essayé de comprendre à partir de la matière et franchement, la matière, il faut le dire, c’est nous qui la comprenons. Ce n’est pas elle qui nous comprend. Elle ne peut pas nous expliquer, la réponse est la pensée humaine qui explique. Nous expliquons la matière.

Donc, attendre que la matière réponde à la pensée, c’est vraiment mal prendre les problèmes, donc de ce point de vue, il regarde l’homme sous l’angle de la matière et il n’y a rien au-delà, le corps revient à la terre et il n’y a rien qui en sort. Le matérialiste qui regarde le monde que par la matière, la mort dit vraiment à l’homme : Tu perds ton temps, tout ce que tu auras acquit et qui t’a servi sur terre, quand tu meurs “ boum ”, cela ne sert à plus rien.

Ces points de vue matérialistes sont connus depuis le siècle dernier et encore une partie de celui-ci. La science s’est beaucoup penchée sur la matière pour expliquer les choses, pensant les lois de la matière arriveraient à expliquer la vie, l’intelligence et la personnalité, mais elle s’est aperçue d’avoir pris les choses du faux côté, la matière est menée par l’intelligence de la personnalité, elle n’est pas celle qui mène, on la mène. Donc, c’est ainsi que se dégagent des penseurs matérialistes, qui après que le corps est mort il n’y a plus rien. On les comprend, mais on les comprend depuis leur erreur. C’est encore une fois de plus la pensée qui comprend la matière. Ce n’est pas la matière qui se donne et qui explique à l’individu, c’est bien la pensée de l’homme qui le fait. Donc, on comprend l’état de découragement du matérialiste, il n’a jamais vu l’homme autrement qu’à travers le corps. Donc, si le corps meurt et est jeté dans une tombe, il n’y a plus rien. Donc, n’attendez pas, ce n’est pas la peine d’espérer une vie au-delà de celle-ci, tous ces espoirs-là sont caducs.

Telle n’est pas la fin et la destinée éternelle de l’homme. Cette vision n’est que le cri de désespoir poussé par une âme errante qui s’est perdue dans les ténèbres spirituelles, qui lutte bravement en face des sophismes mécanistes d’une philosophie matérialiste, et qui est aveuglée par le désordre et la déformation d’une érudition complexe. Toute cette condamnation aux ténèbres et toute cette destinée de désespoir sont dissipées pour toujours par un seul courageux déploiement de foi du plus humble et du plus ignorant enfant de Dieu sur terre.

Là, cela réagit, on disait que le côté matérialiste n’est pas la finalité de l’homme. Un homme qui cherche Dieu peut dans cette expérience de recherche comprendre que sa vie et sa destinée sont éternelles, c’est vraiment l’idée de Dieu. Il suffit pour cet homme d’avoir découvert la foi, sa relation avec Dieu, de l’expérimenter, comme nous avons vu l’expérience religieuse (8e et 9e séminaire) et de constater dans le résultat même que nécessairement, il a une autre destinée qu’il assumera et qu’il vivra plutôt que d’être simplement promu à une destruction.

Cette foi qui sauve prend naissance dans le cœur humain quand la conscience morale de l’homme se rend compte qu’au cours de l’expérience mortelle, les valeurs humaines peuvent être transposées du matériel au spirituel, de l’humain au divin, du temps à l’éternité.

Evidemment, dans ce dernier paragraphe, il y a la tendance, un peu la notion de ce que nous allons étudier le fondement de la foi. On commence déjà à suggérer à l’homme la nature de la foi, la transposition de la valeur morale à des valeurs spirituelles. Et quand l’homme réfléchit et a bien compris, il comprendra qu’il passera du temporel à l’éternel, du fini à l’infini, du mortel à l’immortel à travers sa conscience morale.

Il fait une analyse actuelle, c’est dans les années 50 que ces choses avaient été données aux hommes quand le matérialisme était vraiment vigoureux. Certains hommes de sciences et certains philosophes qui ont tout basé sur la matière, ils donnaient une description sombre. Actuellement que les hommes se sont un peu éloignés d’une attitude aussi mauvaise se termine et les hommes de foi commencent à naître sur terre et développer cette foi qui est la relation morale entre l’homme et Dieu. Les valeurs peuvent être transposées en spirituelles. En valeurs humaines déjà, faire un enfant et l’éduquer, c’est une valeur morale qui n’est pas loin de la conception d’un créateur. La vie sociale aussi, développer ses aptitudes et les donner aux autres, c’est assez proche d’un amour supérieur. Donc, les valeurs morales de l’hommes sont transposables aisément au niveau spirituel et cela nous a amené à reconnaître toujours la morale., La morale est la valeur, la qualité, que Dieu qui nous a créé a fait preuve de bonté et de miséricorde, ce sont les côtés moraux des choses. La conscience morale de l’homme s’élève à la conscience spirituelle. En attendant, l’homme expérimente, quand l’homme a vraiment compris que celui qui l’a créé est bon, qu’il a mis de l’amour et la miséricorde, on n’est pas loin de : Je veux le connaître !

Donc, la valeur morale transpose très rapidement à un autre niveau, c’est dans la volonté de connaître Dieu et si cela tient solidement, moralement, celui qui cherche est bon. Il n’a pas de gêne, ma pensée n’est pas gênée du tout, le fait est là, nécessairement la cause est là !

Il est bon, je reconnais sa nature de Bonté. L’homme se rapproche beaucoup de Dieu dès qu’il y a coordination entre ce que Dieu est pour l’homme avec se que Dieu a fait pour l’homme.

1.   LES ASSURANCES DE LA FOI – P.1118

(1) Le travail de l’Ajusteur de Pensée est par lui-même l’explication de la manière dont le sens primitif et évolutionnaire du devoir est transmué en une foi supérieure et plus certaine dans les éternelles réalités de la révélation. 

(2) Il faut que le cœur de l’homme soit avide de perfection pour lui assurer la capacité de comprendre les sentiers de la foi menant à l’aboutissement suprême.

(3) Quiconque choisit de faire la volonté divine connaîtra le chemin de la vérité. 

(4) Il est littéralement vrai ” qu’il faut connaître les choses humaines pour les aimer, mais qu’il faut aimer les choses divines pour les connaître.”

(5)  Mais les doutes honnêtes et les interrogations sincères ne sont pas des péchés ; ces attitudes sont simplement une cause de retard dans le cheminement  progressif d’accession à la perfection. 

(6) Une confiance d’enfant assure l’entrée de l’homme dans le royaume de l’ascension du ciel, mais le progrès dépend entièrement de l’exercice vigoureux de la foi robuste et confiante de l’homme accompli.

Le travail de l’Ajusteur de Pensée est par lui-même l’explication de la manière dont le sens primitif et évolutionnaire du devoir est transmué en une foi supérieure et plus certaine dans les éternelles réalités de la révélation.

Il y a chez l’homme une évolution naturelle, nous voyons les adjuvats approfondis qui, à chaque fois, nous font voir dans chaque aspect, comment leurs installations en l’homme part d’un niveau simple “ embryon ”, l’évolution qui est la transformation progressive des choses. Il y a cette l’évolution dans une famille quand on voit comme un enfant part au niveau de nourrisson qui ne fait rien d’autre que manger et dormir, puis le niveau enfant, qui marche et les va et vient dans la maison, le niveau adolescent où il prend conscience de son équivalence avec ses parents, il devient adulte. L’évolution est très claire d’un individu, encore, s’il veut se transformer, s’installe de plus en plus les mécanismes de maîtrises et même de la sexualité de la reproduction, tout se fait et sa pensée évolue.

L’ajusteur manipule vraiment le progrès, l’évolution de la pensée est très nette. Donc, dans une vie., l’homme travers toute les phases d’évolution avec tout le développement psychologique. De plus en plus son corps, sa personnalité gagne la maîtrise du fonctionnement de sa vie. Il y a cette évolution que l’Ajusteur, que Dieu, surveille chez chacun, si jamais l’humain est handicapé par un manque d’adjuvat, ce n’est pas bon. Il faut que l’évolution s’installe de stade en stade, tous les éléments qui sont nécessaire pour que l’homme maîtrise sa vie de façon efficace. Dieu surveille cela !

Il y a aussi une autre évolution concernant un cadre plus large que le cadre familial et individuel, c’est le cadre sociologique, la civilisation. Les hommes ont évolué d’un état d’existence vers un état progressif de nation, organisation de socialisation collective. Et avant, dans un âge primitif, nous n’instruisions pas les enfants par une école, par l’université, donc, nous avons vraiment évolué dans un cadre social. Avant dans le temps primitif, la socialisation n’intéressait personne, c’était sa vie individuelle personnelle qui l’intéresse, mais, c’est passé. L’organisation se passe de clan en tribu, en nation, il y a eu évolution sociologique. Donc, cette évolution, cela se voit chez l’homme individuellement parlant, cela se voit chez l’homme collectivement parlant et maintenant nous sommes dans une société vraiment d’instruction de formation de transformation, organisation, mais, en ce vieux temps, les gens s’en fichaient éperdument. C’est dans le plan d’évolution de Dieu qui nous étudierons plus loin.

C’est l’évolution d’un stade toujours plus évolué par l’organisation de fonctionnement de service etc., c’est à dire, qu’il a tout prévu et qu’il a prévu d’être dans l’homme et qui contrôle la réalisation. Et quand maintenant, ils arrivent à une valeur morale familiale ou éthique sociale, l’homme quand il atteint vraiment le sens de la moralité. il n’en est pas loin !

Pour cela vous avez votre Ajusteur de Pensée qui est Dieu ! Il y a un plan évolutionnaire chez l’homme individuel comme collectif pour que les hommes atteignent l’état moral de vie “ morontielle ”, l’état éthique de vie, car dans cet état se trouve la conception de bien être chez l’individu.

J’aime les enfants, j’aime tous les hommes et vraiment, la société s’organise et qu’elle fonctionne bien, ce sont les valeurs morales chez l’individu, alors qu’avant, on s’en fichait pas mal.

Ce sont les valeurs humaines qui dirigent, le reste moral de l’individu, la valeur morale a remplacé dans la société militaires les voleurs de chèvres. Donc, l’évolution a quand même fait faire à l’homme sur le plan collectif un départ vers une vie morale, dans la vie individuelle également, sa transformation l’a aussi amené à la conscience morale des valeurs de l’individu dans la famille et dans la société, donc, l’évolution existe.

C’est développer une pensée sur un corps, c’est développer une personnalité sur une pensée, c’est une évolution. La pensée qui gagne de plus en plus de maîtrise sur la vie et la personnalité aussi. L’évolution fait toujours gagner, elle est maîtrise du corps et de la personnalité sur la matière, le corps et sur l’environnement. Mais ces gains se traduisent en compréhension, en appréciation morale. Si je comprends comment la reproduction des hommes se fait, c’est le côté biologique, il faut que je sache que cela se fait dans un cadre d’amour.

On aime qui, on aime l’enfant, les deux peuvent plus ou moins bien s’aimer, mais ils sont dans l’obligation morale d’aimer l’enfant. C’est un cadre de famille et un cadre de moral de ce point de vue.

On peut s’entendre sur beaucoup de points, mais sur l’éducation de l’enfant, son développement à faire, l’évolution de son être, on devrait s’accorder. C’est l’enfant qu’on s’accorde, on s’accorde moins sur le moi et sur le toi, mais c’est sur l’enfant qu’on doit s’accorder. Evidemment, il y a des difficultés si on ne fait pas d’effort et la vie familiale a un cadre moral et même entre les deux partenaires, il faut s’accepter, parce que je n’ai pas fait l’enfant qu’il n’a pas fait. C’est une rencontre, il faut donc aussi qu’on accepte la rencontre. C’est le premier effort qu’il faut qu’on fasse. Ma femme, ce n’est pas moi qui l’ai mise au monde, ce n’est pas moi qui l’a éduqué, donc, l’accepter telle, cela ne veut pas dire me détruire moi, non ! Accepter quelqu’un, ce n’est pas le synonyme de se détruire, cela n’a pas de sens. On vient d’horizon différent, donc on est là que pour se comprendre, mais surtout il faut s’accepter et accepter la rencontre. Naturellement, si c’est seulement pour faire l’amour, bien on peut s’arrêter là, mais si c’est juste pour faire un enfant, il fait donc accepter la famille et c’est un travail d’organisation et d’éducation de l’enfant. Donc, dans tous les cas l’homme et la femme devront se rencontrer et s’accepter moralement, au titre personnel et aussi au titre d’organisation et d’éducation de l’enfant. Ils devront se rencontrer et s’accepter moralement, au titre personnel et aussi au titre familial, ainsi on retient ces objectifs-là et il aura bien moins de malentendus. Il en aura toujours parce que les personnalités sont différentes, les éducations de base sont différentes, on n’est pas de la même sensibilité, c’est cela que l’on devra accepter, la tolérance !

Les couples ont beaucoup de problèmes sur toute la terre et les divorces sont plus faciles que les compromis. On ne travaille pas assez de s’accepter mutuellement et pourtant il le faut. C’est l’obligation morale d’accepter notre rencontre. La rencontre a un objectif, si c’est seulement d’aimer physiquement, il faut garder ce programme : si c’est pour faire des enfants, c’est un autre programme et il faut que par-dessus de la part de l’un et de l’autre que l’on s’admet. Si un n’est pas en accord. Il gâche le tout. Donc, c’est l’évolution qui nous importe, que ce soit dans le cadre d’une civilisation, d’une société organisée ou dans le cadre d’une famille, c’est d’abord dans le cadre d’une famille pour pouvoir évoluer juste à un statut de moral de soi et des autres.

Il faut aussi arriver à une certaine estime de soi, une estime morale de soi et également une estime morale des autres dans la société. Donc, la conscience morale peut vraiment chez un individu être à la base du respect et de l’éducation. Nécessairement, un homme arrive à la conscience morale de soi, la conscience sociale pour exister parle aux hommes. Il est obligé d’arriver à cela. Et en intérêt de cela, il y a la main de Dieu qui est intéressée par l’acquisition de la conscience morale. Depuis qu’il est enfant, l’Ajusteur, que nous verrons encore plus loin, l’a installé, c’est lui qui installe la moralité de l’individu, cela veut dire, la capacité de comprendre un jour les valeurs morales de soi aux autres et vraiment de soi en soi. C’est cela qui est dit dans la première phrase, l’évolution de l’individu se réalise sous l’œil de l’Ajusteur, sous l’œil de Dieu. C’est Dieu qui l’a voulu. Si l’homme perd son sens de la moralité, il n’a plus de sens de saisir Dieu. Il en est incapable. Donc, la première phrase se comprend ainsi.

2) Il faut que le cœur de l’homme soit avide de perfection pour lui assurer la capacité de comprendre les sentiers de la foi menant à l’aboutissement suprême.

Il faut que l’homme ait envie de continuer à progresser pour qu’il ne devienne pas stationnaire ; j’ai mon boulot ; j’ai ma maison ; j’ai ma bagnole ; j’ai mon médecin : j’ai mon avocat et oui, tout cela est bien assortie dans la société, mais il y a quand même autres choses qu’il doit se donner le devoir d’avoir. C’est de progresser ! De vouloir être meilleur, plus accomplit, il doit se perfectionner et si l’homme n’en n’a pas le goût, on ne peut pas en rajouter ! Parce que son Libre Arbitre n’est pas ouvert à ce qu’il veut être plus !  Son être n’est pas ouvert, on ne peut pas faire entrer quelque chose et aussi longtemps que l’on n’a pas envie de progresser, pour être plus vraiment, et comment faut-il faire pour être plus ? C’est ce que nous avons déjà étudié. Le plus est : J’ai besoin d’immortalité ! J’ai besoin de comprendre, je n’ai pas la vérité des choses. Donc, il faut que l’individu veuille être plus et être meilleur, c’est ce qu’on appelle déjà la foi et il va tout faire pour qu’il aboutisse à ce qu’il veut. Donc, il est nécessaire que l’individu veuille cela.

3) Quiconque choisit de faire la volonté divine connaîtra le chemin de la Vérité.

Donc, si un individu a été instruit auparavant, il croit en la présence de Dieu en lui, ce que nous avons vu depuis le 4e séminaire, et que cette présence se donne à nous. Je t’aime tellement que je me donne à toi si tu le veux, quand même nous avons besoin de clarifier cette notion de volonté de Dieu. Alors, c’est Dieu qui se donne à nous ? Alors, vous allez à la source de la Bonté, il nous a déjà donné moralement ce que nous avons et maintenant il se donne spirituellement à nous par la foi. Il faut vraiment que les hommes soient bien éclairés sur cette notion de foi et sur cette notion de comprendre que c’est Dieu qui se donne. Alors, si l’homme accepte ce don de Dieu qui s’ajoute : quiconque choisit de le faire pour connaître le chemin divin. Les dons de Dieu continuent toujours et de plus en plus jusqu’au bout, donc, c’est organisé, c’est programmé. Et si on veut tout prendre, il nous expliquera comment nous progresserons dans la réception de ses dons et comme il a déjà tout organisé dans le système ce qu’on appelle vraiment l’aboutissement suprême.

4) Il est littéralement vrai ” qu’il faut connaître les choses humaines pour les aimer, mais qu’il faut aimer les choses divines pour les connaître. “

Comme nous pouvons progresser dans l’amour de Dieu, c’est vraiment énorme ce progrès qui s’installe en nous. Donc, il faut aimer Dieu pour le connaître. Nous allons recevoir ce qu’il nous a promis et attendre, c’est la foi qui donne tout cela. Nous voulons l’immortalité, nous voulons l’éternité, nous voulons l’infini, notre Dieu, tu as dit : dans mon cœur, j’ai trouvé que j’en ai besoin, je le veux parce que j’en ai besoin, alors c’est ainsi qu’on aime Dieu. Et Dieu va installer en chacun de nous ce que nous lui demandons. Donc, il est important que l’homme sache qu’est-ce qu’il y a en lui en besoin et que Dieu peut satisfaire. Dieu, je t’aime, je te veux pour satisfaire mes besoins. Dieu le fera et il aimera Dieu.

Mais, il faut qu’il connaisse ce qu’il veut, qu’est-ce que Dieu attend de moi…Il peut vraiment se tromper. On aime Dieu pour qu’il se manifeste, mais on n’explique pas ces choses à un chercheur de Dieu. Cela fait une façon de renverser les choses et si on n’a pas fait attention, on peut tromper et il peut penser que c’est le même type d’amour du point de vue qualité. Moussa dit : Oui, c’est Dieu que je donne, mais je ne peux pas le donner sans connaître l’homme et ses besoins, sa volonté. Donc, ce sont des choses qu’il est important de faire attention.

5) Mais les doutes honnêtes et les interrogations sincères ne sont pas des péchés ; ces attitudes sont simplement une cause de retard dans le cheminement progressif d’accession à la perfection.

Quand je ne suis pas sûre d’une chose, comment je devrais en être sûre ? Douter d’une chose, c’est d’aller chercher la certitude. Pendant que je doute, je cherche, donc, c’est vrai que je ne progresse pas parce qu’il me faut clarifier. C’est honnête, cela retarde l’individu, mais ce ne sont pas des pêchées, au contraire ! Tant que je doute et que je ne suis pas certaine, je ne peux pas prendre de décision, donc, je suis en situation statique. Mais quand je réfléchi, je veux la certitude.

6) Une confiance d’enfant assure l’entrée de l’homme dans le royaume de l’Ascension du ciel, mais le progrès dépend entièrement de l’exercice vigoureux de la foi robuste et confiante de l’homme accompli.

Un enfant a l’évidence que ses parents sont là pour lui, si ces parents disparaissent, il pleure, il colle à ses parents, sa foi est une relation de collage. Naturellement ce collage est ce qu’il lui faut, il ne faut pas qu’il lui manque ses parents. Les enfants ne doutent pas. Mais quand il s’agit de Dieu tout de même, il faut nuancer les choses, je colle à Dieu parce que j’ai choisi et j’ai choisi parce que j’ai compris. J’ai compris, donc, ce n’est pas tout à fait comme un enfant.

Donc, pour l’homme, il aura certainement un amour complet, mais la démarche est différente. L’homme adulte doit déterminer sa foi. La confiance enfantine pour la rentrée au ciel, c’est un exercice que l’homme doit déterminer.

On peut dire, mon Dieu, je sais que tu m’as créé, je t’aime sincèrement, cela fait quelque chose, mais il faut appeler la foi pour progresser.  “ Il faut vraiment faire preuve de sa propre volonté que la sienne se fasse. ” Qui, les religions n’ont pas assez fait comprendre cela.

C’est facile d’aimer Dieu, mais c’est autre chose de progresser dans Dieu. Il faut avoir une foi pour nous faire progresser dans Dieu. Mais les religions n’ont pas beaucoup insisté sur le côté du progrès, c’est le côté croyance, mais ils ont oublié le côté progrès qui est l’activité progressiste et transformatrice de l’individu vers la ressemblance totale de Dieu ou l’ascension vers le Paradis. Ils en ont parlé, mais sans pouvoir expliquer. Il y énormément de manque dans les explications, aux jeunes on n’explique rien du tout.

C’est une autorité brutale de dire : il faut croire en Dieu, donner les explications, car pourquoi faut-il croire en Dieu ? L’intelligence ne peut repérer l’intérêt et la certitude parce qu’on ne la connaît pas. Il faut connaître, donc les églises et les mosquées se tiennent uniquement aux affirmations dogmatiques, les jeunes disent non, cela ne passe pas.

(1) La raison de la science est fondée sur les faits observables du temps. (2) La foi religieuse tire argument du programme spirituel de l’éternité. (3) Ce que le savoir et la raison ne peuvent faire pour nous, la vraie sagesse nous exhorte à permettre à la foi de l’accomplir par clairvoyance religieuse et transformation spirituelle.

  1. La raison de la science est fondée sur les faits observables du temps.

Il y a toujours un débat entre la science et la religion. La science, elle étudie les faits, elle l’étudie par la raison, cela prend ces faits, c’est fait de quoi ? c’est fait comment ? c’est fait pourquoi ?  c’est ainsi la science, elle analyse les faits, c’est son domaine.

(2) La foi religieuse tire argument du programme spirituel de l’éternité.

Tandis que la religion, elle, n’est pas le fait qu’elle intéresse, surtout quand la religion s’est transformée en relation avec Dieu et quand on doit attendre des réponses que l’on veut. Quand la religion est devenue foi, dans ce moment, la foi religieuse tire habilement le programme spirituel de l’éternité. L’homme qui a la foi dit : ok, je reconnais que tu m’as créé, je reconnais que tu es en moi et que tu es amour, maintenant, je veux recevoir cet amour. Il faut travailler pour que cela se manifeste. Moi, maintenant, je suis éternelle et éternellement je t’aimerai, moi, je me remets à toi. 

Dieu peut dire : Il a un programme que j’ai prévue de transformation progressive de ton être, programme que moi, j’ai préparé pour toi. 

Alors là, il faut reconnaître que la science ne s’occupe pas de la foi parce qu’elle ne s’occupe de la morale, elle s’occupe des faits matériels. Donc, elle ne peut pas apporter une réponse à la foi religieuse. La science ne s’occupe même pas de la morale, elle s’occupe des faits. La foi est basée sur la morale qui reconnaît Dieu etc., donc, la science ne peut apporter à la religion du tout une réponse et par conséquence, le savoir de la science, la raison ne peut le faire bien sûr.

(3) Ce que le savoir et la raison ne peuvent faire pour nous, la vraie sagesse nous exhorte à permettre à la foi de l’accomplir par clairvoyance religieuse et transformation spirituelle.

Mais, il ne faut pas les opposer, normalement, l’homme de science devrait se comporter en homme de sagesse. De quelle manière, le fait qu’il a étudié l’homme ou la terre ou le soleil ou autres choses, l’homme de science connaît bien, l’homme de science devrait dire : Mais, par qui ce fait est-il fait ?  C’est cela qu’il ne l’intéresse pas et pourtant cela vient immédiatement après. Par conséquent, même l’homme de science pourra prolonger et dire : Comment cela se fait, comment cela a été fait et par qui ? c’est cela la sagesse. La sagesse, elle, le fait à sa source. Donc, si la chance s’arrête, moi, je dois attendre la sagesse.

Pour étudier effectivement la suite, la suite qui a été fait par qui ? Et c’est cela qu’on appelle évidemment la foi, la foi, qui s’appuie sur la sagesse et qui doit accomplir sur le terrain religieux sa transformation spirituelle. Donc, il faut que la science continue par la sagesse. La sagesse continue bien sûr, elle sait qu’elle vient d’un Créateur qui est bon, plein d’amour et de miséricorde. Comment donc en est-il venu et comment donc il est là, cela est la compréhension spirituelle de Dieu et cela passe dans la clairvoyance spirituelle. Donc, si l’ancien ne me satisfait plus, je dois demander la sagesse et continuer avec la sagesse jusqu’à la clairvoyance spirituelle par rapport de celui qui m’a créé et vraiment attendre que les choses se fassent.

(1) Par suite de l’isolement dû à la rébellion, la révélation de la vérité sur Urantia a été trop souvent mêlée aux affirmations de cosmologies partielles et transitoires. (2)La vérité reste invariante de génération en génération, mais les enseignements  associés concernant le monde physique varient de jour en jour et d’année en année. (3)La  vérité éternelle ne devrait pas être dédaignée parce qu’on la rencontre par hasard en  compagnie d’idées périmées sur le monde matériel. Plus vous êtes docte en science, moins vous êtes sûr de vous ; plus vous avez de religion, plus vous êtes pénétré de certitude.

(1) Par suite de l’isolement dû à la rébellion, la révélation de la vérité sur Urantia a été trop souvent mêlée aux affirmations de cosmologies partielles et transitoires

On déplore un phénomène qui s’est passé sur terre qui nous vient de Caligastia, qui était le même que Lucifer. On a subi un isolement quand cette rébellion a eu lieu, nous avons été mis en quarantaine. Donc, les informations qui nous viendraient de partout, même du paradis jusqu’à nous. Nous en sommes maintenant isolés et cela diminue notre force et la compréhension et l’immersion. Cela nous a paralysé, cela nous a pénalisé et cette pénalisation est qu’un peu partout on trouve des enseignements de Dieu qui sont mêlés à des cosmologies partielles et transitoire. C’était beaucoup déformé, voir dénaturé…

  1. La vérité reste invariante de génération en génération, mais les enseignements associés concernant le monde physique varient de jour en jour et d’année en année.

Cette vérité est notre relation avec Dieu, c’est Dieu qui l’a accompli, de génération en génération, le canal est là si l’homme veut. Seulement les enseignements qui ont été associés concernant le domaine physique et cela varie de jour en jour et d’année en année. Les enseignements le concernant le domaine physique, c’est la science, donc, la science en sait davantage, donc, cela varie.

(3 La vérité éternelle ne devrait pas être dédaignée parce qu’on la rencontre par hasard en  compagnie d’idées périmées sur le monde matériel. Plus vous êtes docte en science, moins vous êtes sûr de vous ; plus vous avez de religion, plus vous êtes pénétré de certitude.

Il ne faudrait pas confondre les connaissances physiques, qui se renouvellent continuellement, le monde physique varie toujours, il ne faudra pas confondre cela avec la vérité éternelle qui est la relation claire de l’homme et de Dieu. En somme, c’est l’âme. Il ne faut pas confondre les choses physiques avec l’âme, c’est vraiment une réalité “ morontielle ” éternelle qui vient de Dieu qui a été créée par Dieu et par l’homme. C’est la vérité même de l’amour de Dieu pour l’homme. Il ne faut pas confondre sa nature avec évidemment les choses terrestres physiques qui changent d’année en année.

Plus vous êtes doctes de science, moins vous êtes sûre de vous, cela se voit très bien par les universitaires, tel il a écrit, tel il a dit et toi qui es-tu, que dis-tu ? Ils ne sont jamais sûrs d’eux, ils dépendent toujours des autres. Donc, plus ils savent en science, moins ils sont certains de leur point de vue personnel…. Cependant, plus l’individu a des relations avec sa religion et que cela répond, Dieu, lui répond, plus vous êtes pénétrés de certitudes. Parce que quand on aime Dieu vraiment, quand on le cherche, il est BON et sa réponse s’affiche de plus en plus dans notre conscience. Donc, on le connaît de mieux et mieux.

(1) Les certitudes de la science proviennent entièrement de l’intellect ; les certitudes de la religion jaillissent des fondements mêmes de la personnalité tout entière.  (2) La science fait appel à la compréhension du mental ; la religion fait appel à la fidélité et au dévouement du corps, du mental et de l’esprit, en fait à toute la personnalité.

1) Les certitudes de la science proviennent entièrement de l’intellect ; les certitudes de la religion jaillissent des fondements mêmes de la personnalité tout entière. 

Les certitudes que la science m’offre viennent toujours de mon intellect, cela veut dire de la matière, c’est cela l’intellect, la pensée repose sur la matière. Les certitudes de la religion jaillissent des fondements mêmes de la personnalité tout entière… donc, de Dieu, Dieu qui est dans la personnalité !

Mais ensuite, la pensée dit : qui a fait ces faits, qui ? L’homme que je viens d’étudier, qui a fait l’homme ? La pensée relie les faits à sa source, il y a toujours de la connexion entre les deux, il y deux faces. Regarde le fait et quand tu regardes le fait, oui, mais qui a fait le fait ? On revient toujours à cela.

Regarde la science et en même temps, cela concerne l’esprit. La pensée est faite par rapport des deux. Dans les enseignements spirituels, j’ai évidemment, en cherchant à clarifier, chez les être qui cherchent Dieu, on veut le confiner seulement dans la science sur des faits et on essaye aussi de les confiner sur l’idée qu’on a de ces études. Il faut se rendre compte que le fait ne s’est pas fait lui-même ; donc, qui a fait le fait ? Si les faits pouvaient me répondre…, je demanderai à un orange : “ alors tu t’es faite toi-même ” ?

Les hommes de science devraient quand même écouter les réponses des poires et des pommes si jamais ils y arrivent ! Les pommes, poires etc. vont sûrement pas leur répondre. Ils font des transformations, mais je n’ai pas vu l’orange se transformer soi-même.

Donc, que les hommes comprennent que la matière ne suffit pas. La science, c’est bien, cela étudie les faits, mais il faudrait qu’ils disent toujours aux faits : est-ce que c’est toi-même qui t’es fait ou quelqu’un d’autre ? Ce quelqu’un d’autre véritablement introduit une nouvelle échelle de connaissance, ce n’est pas fait pour dire NON à la science, non, c’est fait pour approfondir encore plus la connaissance. Le fait est là, ainsi je connais celui qui l’a fait, mais il me dira comment il l’a fait, cela augmente ma connaissance de Dieu. La science n’est pas niée par la religion, du tout. La religion n’a pas à nier la science, la religion explicite davantage la science, c’est tout.

Malheureusement, dans le siècle passé on a voulu mettre les deux en rupture. Les sciences et la religion, vous n’avez rien à faire ensemble, mais les deux marchent bien ensemble. Quand la science est vraiment dans les faits, elle se rappelle à l’homme et qui l’a fait…. 

Il est certain que celui qui a conçu l’homme peut répondre. Nous, dans notre recherche, nous sommes un peu aidée par le fait que dans l’étude de l’homme, de l’être, quand même le plus intéressant sur terre, après avoir regardé son corps,. Nous pouvons admirer l’organisation architecturale, il a également organisé le fonctionnement administratif du corps en unité, les organes fonctionnent en unité.

Quand la bouche a fini de manger, l’estomac se met à travailler pour l’envoyer dans l’intestin grêle et quand cela s’y termine, cela va plus loin, c’est une intégration extraordinaire d’unité. Unité vraiment et unité des choses, on devrait bien assimiler ces choses pour mieux comprendre l’unité, unité totale dans l’être.

Ce sont donc des systèmes, systèmes respiratoires, systèmes nerveux, est-ce que c’est tellement intégré ? Alors sur le plan de l’administration qu’est-ce qu’on a besoin de société. Nous pouvons même aller plus loin dans les systèmes, mais est-ce que vraiment cela s’intègre, car après tout une chose vient après l’autre. Donc, l’architecture de l’homme est largement dotée. Elle est complète, car il ne lui manque rien. Est-ce que les choses sont à leur places ? oui, est-ce qu’un dérangement serait bien ? Non. Donc, vraiment c’est construit d’une façon concrète, accompli. Et son fonctionnement est aussi tout autant parfait parce qu’un système finit son travail pour aller dans l’autre. Tout cela nous aurait bien aidé à organiser notre propre vie d’ailleurs, la gestion de notre corps par rapport au monde, cela nous aurait beaucoup, beaucoup aidé et on se rendrait compte qu’au fond chaque chose sort d’une autre cellule, voir encore plus. La simplicité et l’intégration des choses, c’est incroyable. Des petites choses, tu fais des choses géantes !

2.La science fait appel à la compréhension du mental ; la religion fait appel à la fidélité et au dévouement du corps, du mental et de l’esprit, en fait à toute la personnalité.

5) Il est vrai que la perception de la religion est encore humaine, et par conséquente sujette à la servitude de l’ignorance, à l’esclavage des superstitions, aux duperies des sophismes et aux illusions des fausses philosophies. Malheureusement, la religion, elle est repensée à partir des cultures des hommes au niveau des enfants, on les amène à l’église ou à la mosquée avec force et contre leur gré et on leur dit qu’il le faut ! La religion est vraiment surnaturalisée dans la culture des hommes, elle n’est pas regardée comme un comportement naturel. Et évidemment, selon qu’une culture reformule sa religion, sa relation à Dieu, cette religion est entachée de superstitions des duperies des sophismes des illusions. (et cela dans chaque religion fait par les humains)

(1) L’une des particularités caractéristiques de l’assurance religieuse authentique est que, malgré le caractère absolu de ses affirmations et la fermeté de son attitude, l’esprit de son expression est assez équilibré et tempéré pour ne jamais donner la plus petite impression d’affirmation de soi ou d’exaltation de l’ego. 

(2) La sagesse de l’expérience religieuse est quelque peu paradoxale, en ce sens qu’elle est, à la fois, d’origine humaine et dérivée de l’Ajusteur. 

(3) La force religieuse n’est pas le produit des prérogatives personnelles de l’individu, mais plutôt la mise en œuvre de l’association sublime entre l’homme et la source perpétuelle de toute sagesse. 

(4) C’est ainsi que les paroles et les actes de la religion vraie, dans sa pureté originale, acquièrent une autorité irrésistible pour tous les mortels éclairés.

(1) L’une des particularités caractéristiques de l’assurance religieuse authentique est que, malgré le caractère absolu de ses affirmations et la fermeté de son attitude, l’esprit de son expression est assez équilibré et tempéré pour ne jamais donner la plus petite impression d’affirmation de soi ou d’exaltation de l’ego. Pour celui qui évidemment possède une religion, plus clairement une relation avec Dieu authentique, il a une conviction sans réserve. Il l’affirme dans une certitude de nécessité et de bien. Bien sûr, quand la religion d’un individu est assez positive et qu’il y met une foi réelle, évidemment, cela ne doit pas le mener dans un état d’excitation ou d’exaltation de son ego.

2) La sagesse de l’expérience religieuse est quelque peu paradoxale, en ce sens qu’elle est, à la fois, d’origine humaine et dérivée de l’Ajusteur. 

Paradoxale, cela veut dire que cela vient de deux origines. Para – en grec veut dire de deux directions, cela veut dire, qu’il y a deux points de vue différents et qui se rejoignent.  Et la sagesse de l’expérience religieuse est quelque peu paradoxale en ce sens qu’elle est à la fois d’origine humaine et dérivée de l’Ajusteur ; donc deux sources différentes.

Différent, on pense souvent que c’est contradictoire en français, dans le fond de la racine grec, ce qui est paradoxale – c’est différent mais cela se rejoint.

Evidemment, cela se comprend chez les hommes, il faut d’abord que les hommes aient le besoin de connaître Dieu. Et que cette question surgit aisément dans la pensée de l’homme quand il se demande : qui m’a donné les adjuvats, qui m’a donné l’existence, le sentiment religieux est effectivement chez l’homme : Qui est mon Créateur ?

Pourquoi m’a-t-il créé ? On pense à un créateur, c’est cela la religion, la relation avec une source de valeur. Donc, elle part toujours de l’homme, mais c’est quand même l’Ajusteur qui d’abord est la réponse et qui met les questionnements en route : Cherche ton Créateur ! Donc, il y a deux mouvements dans la religion, le mouvement de l’homme qui veut aller chercher Dieu et l’Ajusteur qui veut que l’on le cherche. Il est du Créateur et il a aussi la réponse. L’Ajusteur tire toujours la pensée humaine vers la recherche du Créateur de l’homme. Il a intérêt (vu que c’est lui) c’est vraiment s’il veut que sa Bonté a un sens pour lui et les autres, il faut qu’on l’aime. Il faut qu’il attire nécessairement. Il nous attire à l’aimer. Donc, cela tient à deux réalités de source.

3) La force religieuse n’est pas le produit des prérogatives personnelles de l’individu, mais plutôt la mise en œuvre de l’association sublime entre l’homme et la source perpétuelle de toute sagesse. 

La religion est la résultante des deux, la force de religion n’est pas le produit personnel de l’individu. Donc, il y a deux mouvements de volonté, l’un veut Dieu, mais Dieu a déjà donné, donc, il y a deux forces qui deviennent une dans l’homme. Donc, la religion n’est pas seulement humaine, elle est aussi divine. On étudiera très fortement pendant le 12e séminaire sur la source, mais dans l’expérience de la religion, la relation donc de l’homme à Dieu et dans la réalité de ces deux, dans cette religion il y a deux mouvements. Deux mouvements qui se conjoignent qui constituent la religion, la volonté de l’homme et la volonté divine. C’est bien la réalité de la religion, comme nous étudions la religion et la réalité, elle est réellement issue de deux volontés.

4)C’est ainsi que les paroles et les actes de la religion vraie, dans sa pureté originale, acquièrent une autorité irrésistible pour tous les mortels éclairés. C’est à cause de cette association qui est une nouvelle réalité qui constitue la réalité par cette association de deux volontés, celle de l’homme et celle de Dieu. Et vraiment, quand la religion est vraie elle est cela ! Les deux sources de vérités, l’homme et Dieu. C’est le besoin éternel de Dieu de sa source perpétuelle de la sagesse qui réalise la volonté de l’homme. Et l’homme ne peut que vouloir Dieu et c’est à Dieu de se donner. De cette manière Dieu possède le moyen de se faire humain, c’est l’homme qui a la sagesse. On pose le problème de sa sagesse, mais il ne le sait pas faire. Dieu répond à la demande de l’homme en devenant une réalité en l’homme. C’est une chose à regarder de plus en plus dans sa réalité.

(1) Il est difficile d’identifier et d’analyser les facteurs d’une expérience  religieuse, mais il est facile d’observer que les pratiquants religieux vivent et persévèrent  comme s’ils étaient déjà en présence de l’Éternel. (2) Les croyants réagissent à la vie  temporelle comme si l’immortalité était déjà à portée de leur main. (3) Dans la vie de ces mortels, on trouve une originalité valable et une spontanéité d’expression qui les classent définitivement à part de leurs compagnons n’ayant absorbé que la sagesse du monde. (4) Les personnes religieuses paraissent vivre effectivement émancipées du harcèlement de la hâte et de la tension douloureuse des vicissitudes inhérentes aux courants séculiers du temps.  (5) Elles font montre d’une stabilité de personnalité et d’une sérénité de caractère que les lois de la physiologie, de la psychologie et de la sociologie n’expliquent pas.

1) Il est difficile d’identifier et d’analyser les facteurs d’une expérience religieuse, mais il est facile d’observer que les pratiquants religieux vivent et persévèrent  comme s’ils étaient déjà en présence de l’Éternel. La volonté de l’humain qui veut connaître ne peut être analysée, parce qu’elle sort d’un humain pour aller vers su surhumain. Je veux connaître Dieu, c’est le surhumain. Donc, la science ne voit pas objectivement cela pour l’analyser en tant que fait, la psychologie aussi a du mal, parce que c’est vraiment très personnel à l’individu. La sociologie a encore du mal parce que ce n’est pas un fait social. Aucune science, pas même la philosophie, peut voir dans l’individu ce qu’il s’y passe. Il ne peut entendre l’individu qui en parle de lui, mais pour l’étudier en tant que fait, c’est difficile à la science. Et même si on pouvait entrevoir la réaction humaine, on ne pourrait voir celle de Dieu. Or la religion est la synthèse des deux. La religion échappe totalement à l’observation de la science.

Mais il est facile d’observer que les pratiquant religieux vivent et persévèrent comme s’ils étaient déjà en présence de l’Eternel. Ce sont ceux qui ont réussi l’expérience avec leur Ajusteur qui ont déjà reçu des résultats, on ne sait pas comment cela se passe. Mais ces individus sont dans une certitude d’être en relation avec Dieu. Ils réagissent ainsi, je perçois Dieu en moi, je ressens les résultats. Donc on verra quand on observe ceux qui ont une religion, une vraie en eux, pas simplement une croyance, une religion est une relation effective avec Dieu et on pense Dieu avec cela. Il faut faire bien attention à la définition de la religion authentique. L’homme a déjà intelligemment élevé sa volonté vers Dieu et Dieu a tout aussi sagement répondu à la demande intelligente de l’homme, et, l’homme goûte les résultats de cela. Alors, celui qui a cette religion authentique, quand on l’interpelle pour lui demander s’il voyait Dieu ou s’il sentait Dieu, comment était Dieu, il répond comme s’il était Dieu. 

La relation effective intelligente et volontaire de l’homme avec Dieu est la réponse de Dieu à cette attitude de l’homme et donne la synthèse que les gens vivent cela, ce sont des gens qui donnent l’impression vraiment d’être familier à Dieu.

2) Les croyants réagissent à la vie temporelle comme si l’immortalité était déjà à portée de leur main. 

3) Dans la vie de ces mortels, on trouve une originalité valable et une spontanéité d’expression qui les classent définitivement à part de leurs compagnons n’ayant absorbé que la sagesse du monde.

Ils ont vraiment vécu et gagné dans cette expérience, différente des autres, ils sont parmi les autres pour tout comme eux, mais quand on étudie leurs vies personnelles, ils réagissent différent des hommes. Ils sont simplement dans le monde en connaissant Dieu, ils sont différents de ceux qui ont absorbé que la sagesse du monde.

4)Les personnes religieuses paraissent vivre effectivement émancipées du harcèlement de la hâte et de la tension douloureuse des vicissitudes inhérentes aux courants séculiers du temps.

Ceux qui ont trouvé Dieu, ils sont dans le rythme du monde, ils vivent selon eux et Dieu à la fois, cela leur donne un rythme qui n’est pas empressé, pas hâtive, par nerveux. Ils sont vraiment détendus par rapport de tout cela. Et ils ne sont pas harcelés par la peur, la crainte, non, ils sont dans une espèce de sécurité et ils ont déjà connu ce qu’il y a à connaître pour toujours

5) Elles font montre d’une stabilité de personnalité et d’une sérénité de caractère que les lois de la physiologie, de la psychologie et de la sociologie n’expliquent pas. Leur façon de leur personnalité est dans la vie sociale d’une sérénité calme, ils comprennent tout ce qu’il se passe sur la terre et au niveau des gens et connaissent la solution de tous ces problèmes et ils savent également que leur démarche est celle qui arrive à la sagesse. Ils sont calmes et tranquilles et les sciences ne peuvent expliquer ces phénomènes supra-normaux et divin et qui sont donc au-dessus de tous ce qu’est simplement humain, science, philosophie ou autre chose.

102:2.4 (1120.1)Le temps est invariablement un élément pour atteindre la connaissance ;  la religion rend ses dons immédiatement accessibles, bien que subsiste le facteur  important de la croissance en grâce, un progrès caractérisé dans toutes les phases de  l’expérience religieuse. (2) La connaissance est une quête éternelle ; vous apprenez toujours, mais vous n’êtes jamais capable d’arriver à la connaissance complète de la vérité absolue. (3) La connaissance seule ne donne jamais une certitude absolue, mais seulement une probabilité approximative croissante. (4) Cependant, l’âme religieuse spirituellement illuminée sait, et elle sait maintenant. (5) Cette certitude profonde et positive ne conduit cependant pas cette personne religieuse mentalement saine à prendre moins d’intérêt aux  avances et aux reculs du progrès de la sagesse humaine, liée dans le domaine matériel  aux lents développements de la science.

102:2.4 (1120.1)Le temps est invariablement un élément pour atteindre la connaissance ;  la religion rend ses dons immédiatement accessibles, bien que subsiste le facteur  important de la croissance en grâce, un progrès caractérisé dans toutes les phases de  l’expérience religieuse..

Il faut étudier une chose après l’autre, les astronomes l’ont fait astres après astres d’après leurs instruments qui permettaient d’observer. Cela prend du temps pour acquérir des connaissances cohérentes, dans la science, c’est pareil. Il faut étudier partie après partie et cela prend du temps. La religion, elle rend ces dons immédiatement accessibles.

Cela s’y colle immédiatement, chacun peut accéder immédiatement à Dieu, sans délai dans un moment de relation de méditation. Plus l’humain est dans cette aptitude-là, plus vite il y accède. Cela ne lui prend pas du tout un temps énorme. Mais, cependant, le temps est nécessaire pour la progression, pour être plus, pour être plus, pour être plus. Bien qu’il subsiste le facteur important de la croissance en grâce, en progrès caractérisé dans toutes les phases de l’expérience religieuse. Cela peut prendre du temps, mais on grandit toujours, d’année en année on s’est davantage transformé et cela demande du temps.

2)La connaissance est une quête éternelle ; vous apprenez toujours, mais vous n’êtes jamais capable d’arriver à la connaissance complète de la vérité absolue. (la nature de Dieu). Tant qu’on étudie les univers, les énergies, les types de créations et ainsi etc., on n’a jamais fini, car Dieu en crée toujours. C’est inévitable, la connaissance est une chose des faits et énergétiques, mais on n’a jamais fini d’étudier les corps créés par Dieu et d’être créés par Dieu du point de vue physique et connaissance.

3) ) La connaissance seule ne donne jamais une certitude absolue, mais seulement une  probabilité approximative croissante. Par contre, l’âme religieuse spirituellement illuminée sait, et elle sait maintenant. Elle connaît tout de suite Dieu, la nature de Dieu et ces attributs (bonté amour miséricorde) et il n’y a pas besoin de détailler, au contraire, quand je communie avec toi je ressens sa nature. Alors il y a une différence d’approche entre la connaissance qui requière toujours des faits nouveaux (matériel) et la perception de la réalité divine, qui est toujours une manifestation de Dieu en soi. Donc, je comprends la bonté de Dieu en moi, je vois bien son amour. Dieu se plaque directement à nous et cette connaissance est vraiment assez directe.

4) Par contre l’âme religieuse spirituellement illuminée sait, et elle sait maintenant. Donc, l’âme est spirituellement illuminée qui est éclairée par la lumière de la bonté, de l’amour et de miséricorde divine. C’est là que l’on connaît la nature de Dieu, chaque fois qu’elle le contacte et cela se passe immédiatement.

5) Cette certitude profonde et positive ne conduit cependant pas cette personne religieuse mentalement saine à prendre moins d’intérêt aux avances et aux reculs du progrès de la sagesse humaine, liée dans le domaine matériel aux lents développements de la science. Cette personne voit toujours les difficultés de la terre, des hommes qui avancent bien et tantôt des hommes qui reculent. Elle voit tout cela, mais on change lentement sur le plan matériel parce que la science évolue lentement. (Ils craignent de changer aussi)

102:2.5 (1120.2) Même  les découvertes de la science ne sont pas vraiment réelles dans la  conscience de l’expérience humaine avant d’être éclaircies et mises en corrélation, avant  que leurs faits pertinents ne prennent effectivement une signification par leur mise en  circuit dans les courants de pensée du mental. (2) L’homme mortel considère même son entourage physique, depuis le niveau mental, selon la perspective de son enregistrement psychologique. (3) Il n’est donc pas étonnant que l’homme interprète l’univers d’une façon hautement unifiée, et cherche ensuite à identifier l’unité énergétique de sa science avec l’unité spirituelle de son expérience religieuse. (4) Le mental est unité ; la conscience mortelle vit sur le niveau mental et perçoit les réalités universelles par les yeux de ses facultés mentales. (5) La perspective mentale ne révèle pas l’unité existentielle de la source de la réalité, la Source-Centre Première, mais elle peut présenter et présente parfois à l’homme la synthèse expérientielle de l’énergie, du mental et de l’esprit dans l’Être Suprême et en tant qu’Être Suprême. (6) Toutefois, le mental ne peut jamais réussir dans cette unification de la diversité de la réalité, à moins que ce mental ne soit solidement conscient des choses matérielles, des significations intellectuelles et des valeurs spirituelles. (7)  Il n’y a unité que dans l’harmonie de la tri-Unité de la réalité fonctionnelle, et c’est seulement dans l’unité que la personnalité se satisfait dans la réalisation de la constance et de la cohérence cosmiques.

Même les découvertes de la science ne sont pas vraiment réelles dans la conscience de l’expérience humaine avant d’être éclaircies et mises en corrélation, avant que leurs faits pertinents ne prennent effectivement une signification par leur mise en  circuit dans les courants de pensée du mental.

Il y a beaucoup de choses en même temps ! On peut regarder la réalité de deux manières, si le tout existe, la source fait tout exister. On est la source de tout de ce qui existe et, on existe en étant la source.

Le raisonnement change et il faut prévenir celui qui cherche à comprendre ce changement chez lui, de ne voir la réalité comme la source de tout ce qui existe. Les corps, les astres, il faut lui demander de quel point de vue il regarde. On peut regarder toute la création, car tout cela, cela existe réellement du point de vue existence, cela existe. La définition de la réalité est existence ; le soleil existe, la lune existe, leurs existences sont réelles et effectives, on peut regarder de ce point de vue-là.

On peut regarder tout cela, mais cela tient à quoi ? Donc, on regarde la réalité en mettant la question de la source. Il y en a qui regarde de cette façon. Tandis que la réalité, elle est visible, elle est ceci, mais il y en a qui regarde la réalité en partant de Dieu, maintenant, qui est la source réelle de tout et de tout ce qui existe. Une personne studieuse s’attende que d’autres personnes prennent les choses d’une façon particulières, cela dépend de la matière dont l’être regarde, même si c’est un archange ou un Melchiziédek. C’est un point de vue de voir la réalité dans ce qu’il dit. S’il regarde le tout, le tout est lié les uns aux autres, il est unifié. Dieu est relié à tout. ((Donc, c’est le point de vue dont je parle qu’il faut savoir montrer aux étudiants pour connaître son idée. C’est la façon de regarder. Et puis on peut reprendre cette première phrase))

Même les découvertes de la science ne sont pas vraiment réelles dans la conscience de l’expérience humaine avant d’être éclaircies et mises en corrélation, avant que leurs faits pertinents ne prennent effectivement une signification par leur mise en  circuit dans les courants de pensée du mental.

 Autrement dit, une invention scientifique, comme le frigidaire, comme la voiture, comme la bicyclette, ce n’est vraiment qu’intéressant qu’au moment où l’homme le comprend et s’en sert. Et quand l’homme comprend, effectivement, la signification de ces choses et son utilisation, comment marche cette machine, comment je dois la faire marcher et qu’est-ce que j’en tire. Donc, cela aurait été plus vite en traduisant plus simplement. Ainsi, l’invention devient réelle pour moi, si je ne sais pas ce que c’est, comme une voiture, c’est une carcasse métallique, c’est tout, cela n’a pas de sens.

Quand je sais m’en servir c’est une réalité, il y a une signification et satisfaction de ces besoins réels. Il faut donc bien qu’il y ait une compréhension, une utilité, un usage et une signification pour être intégrée. Aussi longtemps que ce n’est pas intégré dans sa vie, cela ne vaut rien pour l’homme.

2)L’homme mortel considère même son entourage physique, depuis le niveau mental, selon la perspective de son enregistrement psychologique.  Le mental – la compréhension, il comprend donc par la signification et l’importance psychologique, ce qui veut dire par la perception humaine !

Et à quoi me sert cet environnement psychologique, c’est une société, une organisation de service, donc, je m’en sers, que je peux utiliser. L’organisation sociale n’est valable chez un individu lorsqu’il comprend comment c’est fait et comment il s’en sert et comment cela devient une habitude, à ce moment-là, il a tout son intérêt. Sinon, il refuse l’organisation tant qu’il n’a pas compris. Ce qu’il a compris c’est la différence des gens qui sont de la vue rurale et ceux des villes, l’organisation n’est pas la même. Mais à fur et à mesure qu’il s’adapte à la cité, il va comprendre son organisation. L’organisation est faite pour satisfaire l’individu. Et vraiment quand on s’en sert on peut être à l’aise, lui aussi comme un vrai citoyen de la cité. 

Il faut qu’il ait l’idée entre les choses et son unité, l’utilisation pour son propre bien.

3)Il n’est donc pas étonnant que l’homme interprète l’univers d’une façon hautement unifiée et cherche ensuite à identifier l’unité énergétique de sa science avec l’unité spirituelle de son expérience religieuse.

C’est à dire qu’à chaque chose, l’homme recherche sa cause et pourquoi cela. Il cherche ensuite à identifier l’énergie de science avec l’unité de son expérience. Quand l’homme a vraiment compris, il n’y a rien de physique et il essaie également de relier à sa propre expérience religieuse et spirituelle. A quoi cela me sert maintenant dans mon cadre de vie. Autrement dit, d’une façon peut-être meilleur : un être humain regarde le faits ; la Création (lui, c’est un fait c’est le meilleur fait pour lui, son être). Il étudie son corps en tant qu’organisme matériel vivant fait d’énergie, d’énergie vivante. Il étudie tout cela, fait des mécanismes mentaux, possédant le mécanisme moral, il regarde tout cela. Et quand il aura compris tout cela, le fait de son être, il dit : mon Dieu comment est-ce que je peux relier cela à une source qu’Il a créée. Là, il comprend vraiment le fait, il cherche à ramener le fait à sa source. Ainsi il commence à connaître la source de son être et à en faire l’expérience. Je connais mon être, maintenant, je veux connaître la source de mon être pour mettre les deux en co-relation, soit dans un rapport d’unité.

Obligatoirement et c’est ainsi que l’homme a saisi les rapports des étoiles, toutes les étoiles, car si vraiment elles ont un Créateur, il y a une relation entre le Créateur et les étoiles forcément. Comment le comprendre autrement, mais en prenant l’homme lui-même d’être humain, il arrive effectivement à dire que son être est en relation certainement avec son Créateur., et de cela, il a déjà une idée morale quand il reconnaît que c’est la Bonté, l’Amour et la Miséricorde.

Donc, il y a une corrélation et une unification de son être humain fait de corps, fait de conscience, fait de personnalité et son Libre Arbitre et il a encore la Source. Donc, l’expérience de la connaissance de son être est l’expérience de connaissance du Créateur, c’est donc nécessairement à unifier. C’est cela qu’on trouve dans tous les comportements humains, c’est nécessairement ainsi quand j’ai compris un fait, je me demande, mais qui a fait le fait et comment l’a-t-il fait et pourquoi l’a-t-il fait Donc, la connaissance intellectuelle est reliée à l’expérience spirituelle qui est la Cause. C’est cela qui veut dire ce paragraphe. Le mental est utile, ma conscience mortelle vit sur un niveau mental et perçoit les réalités universelles par les yeux de cette faculté mentale.

4) Le mental est unité ; la conscience mortelle vit sur le niveau mental et perçoit les réalités universelles par les yeux de ses facultés mentales.

Vraiment, quand l’homme a étudié la matière, il finit par dire : qui a fait la matière, la pensée humaine est toujours ainsi.

Quand il voit le fait et qu’il comprend, la question est inévitable : Qui a fait le fait ? La pensée est faite pour unifier, on dit que la pensée est une unité par l’efficacité des faits et la source des faits. Dans tous les comportements humains c’est ainsi. Quand j’ai fini d’étudier le fait énergétique, je me demande qui a donc fait cela ?

C’est la pensée qui est naturellement une unité de deux extrêmes : la cause et le fait. On peut regarder les deux. Elle est une unité naturelle dans son naturel, elle est comme ça, elle cherche toujours à unifier les choses. Il faut donc pas perdre de vue que c’est la pensée humaine qui a la nature d’unifier. Le mental est unité. Inévitablement, quand il regarde un fait, il doit connaître qui l’a fait. C’est toujours l’unification de la cause et de l’effet.

5) La perspective mentale ne révèle pas l’unité existentielle de la source de la réalité, la Source-Centre Première, mais elle peut présenter et présente parfois à l’homme la synthèse expérientielle de l’énergie, du mental et de l’esprit dans l’Être Suprême et en tant qu’Être Suprême.

Le seul fait de regarder le fait ne montre pas la source, mais nous fait penser à la Source, le fait de connaître l’homme ne nous montre pas Dieu, mais nous fait penser à lui. Donc, ce qui veut dire, du coup que la perception mentale ne relève pas la source, mais fait penser la source, mais elle peut présenter ou présente parfois à l’homme la synthèse de l’énergie mentale et de l’esprit d’un être Suprême et en tant qu’Etre Suprême.

Ce sont des concepts qui sont trop loin pour cela. Quand l’être est né, il examinera l’individu d’un point de vue originelle. On le verra plus loin, mais ici on mélange beaucoup de concepts, il oublie (Melchiziédek) qu’il parle à des êtres humains.

Pour les êtres humains, il faut garder la rationalité des choses. La présentation n’est pas toujours dans la logique humaine. Ici, ce qu’il veut dire que dans la création où nous nous trouvons actuellement, il semble, nous l’étudions, que Dieu unifie ce qui existaient déjà avec ce qu’il doit exister et qui n’est pas encore réel qui s’appelle le Potentiel. Ce qui existait et qui existe on l’appelle l’Actuel, ce qui va exister et qui n’est pas encore réel s’appelle le Potentiel. Dieu met ensemble les deux. Et dans cette mise en commun, il réagit ce qu’on appelle Dieu le Suprême. Donc, il emploie déjà ce concept ici pour préparer la pensée.

Mais la présentation n’est pas cohérente.

Donc, comprendra celui qui a compris, ((à un moment donné arrêter la présentation pour expliquer à qui il faut faire comprendre ces certains concepts.)) C’est un Melchizédek de Nébadon qui présente ceci, eux, ils sont créés directement dans la compréhension de ces choses et ils ne pensent pas bien leurs idées quand ils les présentent à des humains. Ils ne sont pas de la même mentalité que nous. Ils n’arrivent pas à se placer dans la compréhension rationnelle de l’humain.

Alors, il semble que dans la Création, qu’on appelle le Grand Univers, il y a une partie qui a précédée et qu’on appelle l ‘Univers Centrale. Le Paradis n’a pas de commencement, il est éternel. 

Mais l’espace que nous habitons qu’on appelle le Grand Univers avec les 7 Super-Univers etc et cela a été voulu à partir d’un certain moment, donc cela n’a pas exister de toute éternité. Mais dans sa réalisation, Dieu qui est Créateur du tout voulu mettre ensemble ce qui est le Paradis, l’Actuel avec le Potentiel ce qui sera. Donc, l’intégration de ce qui est à ce qui doit venir. Et cela se fait par l’Ajusteur qui est en nous. Nous sommes des hommes à vouloir connaître Dieu. Par ma volonté et la volonté divine se réalisera ce qui est actuel avec ce qui veut être. Cette relation s’appelle, la relation potentielle de l’être humain et de l’actuel de la volonté divine, il en sort une résultante qu’on attribue à la Suprématie et le Suprême.

Je veux être Dieu et je ne le suis pas encore, donc, je suis dans le potentiel et Dieu sait déjà ce que je veux, bien que je suis dans l’actuel, je veux le potentiel. Evidemment, le potentiel ne veut qu’avoir ce qui est actuel et l’actuel ne peut vouloir que ce qui est le potentiel. C’est là que l’actuel a de l’Amour et de la Bonté. Mais aussi le Potentiel en aimant Dieu en fin du compte c’est l’actuel Dieu qui se manifeste en moi et les deux sont très harmonisables. D’emblée, c’est bon de rappeler à l’homme que donc la perspective mentale ne peut voir l’unité existentielle, la Source de la réalité. Cette source de réalité qui est potentielle et actuelle : le Père JE SUIS qui est actuel et JE SUIS ce qui est potentiel. C’est ainsi que ce définit Dieu, c’est le Père qui dit : “ Je suis ce qui est actuel et JE SUIS aussi ce qui sera ! Donc, Dieu le Père a deux volets de la Source.

Nous clarifierons cette double face de Dieu, nous sommes actuellement dans la phase où c’est l’actuel qui veut aller avec ce qui est potentiel. Tout ce qui est potentiel doit aller avec ce qui est actuel, obligatoirement, il faut que ces deux volontés soient unifiées en Dieu, sinon vous serez 2 choses séparés. Je suis ce qui est, oui, mais je suis ce qui sera, il faut bien que ces deux unités soient unifiées. Mais l’homme aussi, il dit : aujourd’hui je suis enfant et je veux être adolescent, là, on passe du potentiel à l’actuel. Je suis à la foi l’enfant que j’ai été et je suis à la fois l’adolescent que je suis. Dieu dit : Je suis ce que je suis et je suis ce qui sera. L’homme dit : je suis ce que je suis et je serai cela ! Cela c’est la phrase inverse, l’homme est fœtus et il sera adulte, il contient ce potentiel…

Mais dans l’expression de Dieu JE SUIS ce qui est et JE SUIS ce qui SERA, et l’homme dit la même chose sur terre ! C’est l’expression philosophique qui a été retenue au Paradis pour le Père JE SUIS. Je suis ce qui est actuel et je contiens ce qui sera aussi. Donc, on définit par JE SUIS, l’éternel passé actuel et JE SUIS CELA.

Chez l’homme, la chose est inversée, je suis enfant, mais je serai adulte, c’est de l’inférieur au plus. En Dieu, c’est dans le sens du Plus vers l‘Inférieur. Donc, nous conjuguons le même JE SUIS dans le sens inverse et c’est pour cela que c’est harmonisable. L’un peut pénétrer dans l’autre. Donc, la Source Première est identique à elle-même dans le JE SUIS CE QUI SERA.

On peut présenter et, on présente parfois à l’homme la synthèse expérientielle de l’énergie du mental et de l’esprit dans l’Être Suprême, la pensée humaine peut effectivement concevoir son potentiel et l’énergie vivante de ce qui est actuel, la synthèse c’est l’ÂME, la volonté qui est de vouloir de l’énergie même spirituelle, morale, le vouloir être Dieu et Dieu à vouloir être Homme est la synthèse, l’âme qui est l’homme.  L’âme démontre la synthèse des énergies et de l’esprit dans le temps et dans l’espace.

Ce qu’il veut dire par là : ce que l’on appelle Suprême parce que cela se fait progressivement d’une valeur suprême. On a besoin de l’Etre Suprême, ce Dieu qui se réalise ainsi dans le temps et dans l’espace, c’est le Dieu qui devient de plus en plus la synthèse des énergies potentielles et les énergies actuelles. Comme nous le verrons au 12e séminaire, l’Etre Suprême. D’or et déjà, nous avons commencé depuis longtemps à fonctionner, car quand on a compris que sa volonté recherche Dieu et que Dieu nous recherche nécessairement au nom de sa Bonté, nous avons compris qu’il y a deux volontés similaires qui vont se synthétiser et qui vont se retrouver dans l’âme. L’Âme est vraiment la pensée de la Synthèse. C’est cela ce que voulait dire, Melchizédek,  mais cela se fait par expérience qu’on ne réalise pas du premier coup.

6) Toutefois, le mental ne peut jamais réussir dans cette unification de  la diversité de la réalité, à moins que ce mental ne soit solidement conscient des choses  matérielles, des significations intellectuelles et des valeurs spirituelles. Tous cela sont des tournures qui auront pu être dis autrement, de façon beaucoup plus claire pour que cela se comprend. Je ne peux pas faire la synthèse de ma volonté et de la volonté de Dieu si je ne suis pas sûr que cela me concerne mon être et mes besoins. Et si je ne suis pas suffisamment conscient que Dieu le veut, vraiment, l’intelligence doit l’entreprendre. Il faut que je comprenne très bien l’être qui est fait par Dieu pour retrouver Dieu. Que Dieu est dans mon être pour rejoindre aux besoins de mon être qu’il a créé. Dieu veut aussi ressembler à moi, donc, c’est la foi ! Nous avons compris par la foi que l’homme et Lui veulent marcher ensemble, mais il faut le comprendre et travailler progressivement.

7) Il n’y a unité que dans l’harmonie de la tri-unité de la réalité fonctionnelle, et c’est seulement dans l’unité que  la personnalité se satisfait dans la réalisation de la constance et de la cohérence  cosmique. De la TRIUNITE, de la réalité fonctionnelle, c’est à expliquer !

La TRIUNITE est précédée de ce qu’on appelle la TRINITE. La trinité n’est pas la tri-unité. La Tri-unité sort de la Trinité, au 13e séminaire ceci sera expliqué, quand nous étudierons plus clairement le Paradis. Au départ, nous nous rendons compte que du point de vue de la réalité le plus profond possible, il y a ce qu’on appelle la Trinité. Alors, pour l’homme qu’est-ce donc le concept de Tri-unité est-ce supportable ? Il faut que les choses soient supportables dans la conscience humaine, c’est très simple.

L’homme a découvert que le fait de son être suppose un donateur et ce donateur, derrière ses dons, il y a la Bonté. Il y a donc un Lien et une attitude à avoir avec ce lien, si on essaie de définir la Bonté. Il a des choses et il a la volonté des choses. C’est un aspect de la nature de Dieu, il est Bonté, par le fait de ce que j’ai reçu. Cela suppose une Source et la volonté de donner, on est dans la compréhension humaine obligatoirement. Donc, un aspect de Bonté chez Dieu, il n’a fait que de me donner les choses, il l’a vit, ce n’est pas seulement une conscience active. J’ai simplement un corps vivant, je n’ai pas simplement une personnalité vivante, donc, il y a des dons aux quelles il a fait pénétrer la vie.  Encore actuellement sur terre, si la vie s’en va…..

Donc, il y a de la Bonté, c’est une qualité qui se manifeste par les dons qui sont là, mais il y a quelque chose d’autre : LA VIE !. Donc, il est aussi Amour, il est Bonté et il est Amour, c’est tout son attention. Cet être à donné en tout Amour, cet Etre a une signification.

Dans la famille, je peux me reproduire, même sans famille, à la société, je peux me donner à des êtres et c’est sans limites jusqu’à l’épuisement de mon être. Mais cet être contient la possibilité de s’auto-créer, de créer et de générer ce qu’il a en lui, car en Dieu, la Miséricorde signifie la Beauté. La Beauté signifie la capacité de Donner. En français, les mots sont un peu difficiles à utiliser. Mais Tri-unité veut dire Unification de la Bonté et de l’Amour dans la manifestation d’une situation. Voilà, ce qui signifie la Beauté, c’est donc l’harmonisation de la Bonté et de l’Amour avec des résultats. Ah, l’art de Dieu est beau ! c’est cela la Beauté. Il prend toute la réalité divine dans la manifestation. C’est la Source de la Beauté, mais ce fut changé pendant le temps. C’est dans la racine latine que l’on le trouve. Il a donné à l’être la Bonté et son Amour et la capacité dans l’être de créer dans la limite de son être bien sûr. Les hommes dégagent leurs êtres de leurs aptitudes, ils transforment techniquement vers des faits significatifs ; ils sont médecins etc., donc les hommes produisent la société, des choses qui améliorent la société, qui font progresser la société.

L’homme est créateur et il est “ progresseur ”, il contient la miséricorde divine, la beauté divine dans le temps et dans l’espace. 

Donc, il y trois aspects de Dieu : un aspect de Bonté, un aspect d’Amour et un aspect de Miséricorde et les trois sont liés. Si j’avais l’un sans l’autre, cela ne marcherait plus. Si Dieu est bon sans Amour, cela n’aurait pas de sens. Si la Bonté et l’Amour ne s’exprime pas (ne se manifeste pas), cela n’a pas de sens. Donc, les trois sont liés et ils sont inséparables, ils sont en UN, voilà la TRIUNITE ! 3 en 1, si un manque, cela ne fonctionne pas. Donc, il s’agit bien d’une unité de fonctionnalité dans la Bonté dans l’Amour et dans la Miséricorde. C’est difficile à enseigner aux hommes, mais en comprenant déjà ce concept, vous avez une belle façon de voir la Trinité.

La Trinité qui donne des résultats chez moi, fait supposer qu’elle existe quelque part. Prenons donc la notion de TRINITE, c’est l’intégration des trois natures de Dieu sans coupures possibles. Là où est UN, les DEUX autres le sont, donc les TROIS y sont ! et ils sont inséparables.

La nature de Dieu en profondeur c’est la TRI-UNITE. Alors, rien a existé avant, tout existe à partir de là et alors la TRINITE ; quand cette même trinité a voulu créer un espace, (pas au paradis, le paradis, ils ne l’ont jamais créé, cela a toujours été comme cela) ; quand ils ont voulu créer dans l’espace, ils ont dû trouver d’abord la technique de créer. Au Paradis, c’est une technique absolue d’intégration. Mais, dans l’espace cela va changer ! Ils ont choisi de définir leur méthode, cette trinité du Paradis a décidé en ce qui concerne l’homme, à la base de la Création du Cosmos : Nous allons créer l’homme le dernier maillon de tout en ensemble qui va du Paradis jusqu’à la limite possible extérieur, nous allons créer l’homme. Chacun de la Trinité a dit oui, mais comment cela ?

Dieu le Père a dit : moi, je donne l’Ajusteur, le Fils Eternel dit : je donnerai l’esprit ce qui donne la fusion d’amour et la Source Centre Trois qui est vraiment la Miséricorde a dit : moi, je créerai les choses ce qui est l’existence et la pensée.

Mais, ils ont décidé de fonctionner l’un près de l’autre et ils ont fonctionné sans délai. Dans le temps et l’espace, ils ont décidé de marquer des périodes. Donc, ce n’est pas en même temps et de suite pour chacun et c’est cette association, séparé par des séquences, par des réalités précises qu’on appelle la TRI-UNITE.

La Tri-unité se montre dans une action fonctionnelle, chaque niveau de la Trinité donne quelque chose à l’homme et quand c’est terminé, ces trois dons sont associés dans un rapport d’unité. L’idée associée, parce que dans la Trinité ce n’est pas ainsi, c’est idée d’association qui a coordonné la notion de TRI-UNITE. 

Donc, vous voyez, Melchiziédek l’a employé ici très vite sans explication. Nous le verrons plus loin dans l’activité, nous verrons que l’homme s’associe à la réalité divine et ceci progressivement. Dans le fond, c’est d’abord ce qu’on appelle l’Esprit Saint, la volonté de connaître Dieu qui donne vraiment l’adjuvat d’adoration et de vouloir connaître la nature de Dieu. Dans l’Univers Local, on dit l’esprit de la Divine Ministre, je veux connaître Dieu et sa Nature, cela nous intègre dans le sentiment de la Nature Divine d’attraction.

Dans un deuxième questionnement, comment cela a été lié à Dieu ? C’est la Vérité d’Esprit qui fonctionne à aider l’homme à connaître Dieu et puis de nouveau : Qui est ce Dieu ? c’est la même chose ! Et qui est ce Dieu en l’homme, c’est l’Ajusteur.

Dans la méthode que j’ai employée, nous avons bel et bien commencé par là et il faut montrer aussi, parce que les hommes ne sont pas encore arrivés au bout de la sagesse, mais au départ, on est toujours humain et on comprend et on voit tout ce qu’Il a mis dans l’homme etc. l’homme doit admettre que tout cela vient de Dieu et qu’il veut le connaître. 

Personne ne peut prétendre de m’avoir donné les adjuvats et la personnalité et la vie, cela vient d’une source, donc, je connais sa Bonté, son Amour et sa Miséricorde et je le veux et l’Esprit Saint est là, l’adoration et la sagesse sont en train de monter chez l’individu. L’adoration et la Sagesse font partie de l’Esprit Saint, la Divine Ministre.

Donc, vous voyez, nous avons commencé par remonter l’Esprit Saint et lors du premier séminaire, on travaille dessus. Dans le second séminaire, on a mis cet homme en relation avec la Sagesse de Dieu en voyant les éléments constitutifs de l’homme. On se rendant compte que chez l’humain les énergies sont subordonnées, la pensée est coordonnée à la personnalité. Donc, on explique en vérité la relation. On a montré à l’homme qu’il commence toujours par découvrir les faits et quand il a découvert les faits, il cherche la sagesse des faits, devient les faits et la source des faits se relève à lui. C’est la démarche de la Vérité.

Au troisième séminaire, on a montré comment il a été implanté sur terre et au quatrième séminaire, on lui enseigne la part de Dieu le Père, l’Ajusteur. Donc la démarche a été progressif pour préparer l’homme au niveau de l’Esprit Saint, au niveau de l’Esprit de Vérité et au niveau de l’Esprit du Père. 

Mais plus on avance en expérience spirituelle, plus les hommes comprendront cette méthode et ils sont suivi…., il est naturel à Dieu, c’est d’abord la conscience, la conception de Dieu qui fonctionne d’abord. Quand on a la conception de Dieu, cela veut dire, l’énergie et tout ce qui est en soi. Le deuxième séminaire le travail sur la conscience de Dieu, c’est la vérité, définitivement que l’Esprit est en nous et se joint à la conscience de Dieu et à la conception de Dieu, mais à fur et à mesure que les personnes avancent, il faut le ramener à l’arrière pour qu’ils comprennent qu’ils ont suivi le schéma normal des choses et donc, nous le faisons étape par étape, ce qui est également la démarche de la TRIUNITE.

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Pas deux à la fois, ni trois, mais chaque fois un à la fois. L’homme ne peut pas comprendre les trois à la fois. Il faut qu’il étudie une partie, cela le fera progresser dans la deuxième partie et cela le fera progresser dans la troisième partie de la conception claire et du fonctionnement de Dieu. C’est normal, parce qu’il est un être vrai. Il a été fœtus, enfant, adolescent et adulte. C’est toujours ainsi que cela fonctionne chez l’individu. Donc cette Unité, nous l’avons déjà rencontrée dans les travaux et nous la retrouverons encore plus clairement, mais déjà, il faut que nous nous rendions compte que nous fonctionnons par rapport à elle-même et d’une façon logique, nous ne pouvons échapper à cela.

Les hommes rencontrent d’abord la Miséricorde divine, le don de Dieu, ensuite, ils ont vraiment cherché la nature de Dieu, l’Amour et la Bonté de Dieu, ensuite ils ont voulu connaître la bonté, la Source de toutes sortes de choses. La démarche est toujours la démarche de la Déité, tant que les trois Déité du Paradis, la Trinité, a voulu fonctionner avec les hommes. Cela commence par la conscience, conception de Dieu, ensuite par la Conscience de Dieu, le phénomène de l’âme, ensuite la saisie de la Source qui est l’Ajusteur, qui est Dieu. Tout cela fonctionne comme ça.

Tout en avançant, nous allons réviser ! C’est ainsi que nous poussons à l’expérience religieuse du 10e séminaire qui est possible de montrer à l’individu que tout cela a déjà été vu, mais c’est maintenant que cela s’intègre progressivement dans sa recherche. 

L’homme est maintenant une unité des trois réalités de Dieu en associé ce qu’on appelle la TRI-UNITE, ce qui veut dire : qui comprend progressivement. L’un après l’autre, c’est cela que Melchiziédek a voulu dire, la notion de la Tri-unité qu’il a employé ici.

L’harmonie de la Tri-unité, de la réalité fonctionnelle, la réalité c’est Dieu. Dieu qui se donne dans l’espace et le temps et c’est seulement dans l’unité que la personnalité se satisfait. Quand nous aurons connu ces trois phases de Dieu, alors notre personnalité sera très satisfaite dans l’espace de Dieu. Je veux connaître Dieu, c’est là où se trouve la personnalité, la personnalité n’est pas Dieu. Et Dieu dans sa manifestation par la personnalité, il faut que les trois phases de Dieu se soient manifestées en nous pour que notre personnalité soit satisfaite, ah, je connais maintenant la réalité divine totale au sens de cette répartition. 

Donc, c’est la réalisation de la conscience et de la cohérence cosmique, ce n’est rien d’autre que : si nous commençons par l’Esprit Saint, l’Esprit Saint s’ouvrira sur la Vérité inévitablement et la Vérité s’ouvrira évidemment sur Dieu le Père. Inévitablement les trois sont liés en un lien indissoluble et indivisible. La Nature de Dieu est indivisible, donc la Bonté, l’Amour et la Miséricorde. Les définitions peuvent différer, mais, c’est toujours la totalité obligatoirement. S’il ne manquait jamais un élément de Dieu. quelle que soit la méthode ce sera incomplet. Bonté Amour Miséricorde de Dieu, il faut toujours s’attendre de les voir ensemble, quelle que ce soit la démarche qu’on prenne.

(1) Dans l’expérience humaine, c’est par la philosophie que l’on trouve le  plus facilement l’unité. (2) Bien que le corps de doctrine philosophique doive toujours être  fondé sur des faits matériels, la clairvoyance spirituelle du mortel est l’âme et l’énergie du  vrai dynamisme philosophique.

1) Dans l’expérience humaine, c’est par la philosophie (sagesse) que l’on trouve le plus facilement l’unité. Il ne s’agit pas de philosophie, il s’agit vraiment de sagesse. Les traducteurs devraient vraiment connaître pour éviter des conclusions. (Ce sont des académiciens qui ont traduit le livre de l’anglais en français) Le mot philosophie est très équivoque en français

2) Bien que le corps de doctrine (philosophique) doive toujours être fondé sur des faits matériels, la clairvoyance spirituelle du mortel est l’âme et l’énergie du  vrai dynamisme (philosophique) de la sagesse. La clairvoyance spirituelle du mortel est l’âme, soit la révélation. Dieu se révèle dans notre âme. Le vrai dynamisme de la sagesse, nous l’avons vu, c’est la Bonté et la Bonté divine unifiées. Donc, là aussi, tout le vocabulaire de la traduction souffre !Moussa dit:: Quand j’enseigne, je redresse les termes et c’est bien d’y faire attention pour avoir une compréhension précise.

(1) L’homme évolutionnaire n’a pas de goût naturel pour les travaux pénibles. Dans la vie expérientielle, pour marcher de pair avec les exigences harcelantes et les besoins pressants d’une expérience religieuse grandissante, il faut une incessante activité dans la croissance spirituelle, l’expansion intellectuelle, le développement factuel  et le service social. (2) Il n’y a pas de véritable religion sans une personnalité très active :  c’est pourquoi les hommes les plus indolents cherchent souvent à échapper aux rigueurs des activités vraiment religieuses en se dupant ingénieusement eux-mêmes, en se retirant dans le faux abri de doctrines et de dogmes religieux stéréotypés. (3) Mais la vraie religion est vivante. La cristallisation intellectuelle de concepts religieux équivaut à la mort spirituelle. Vous ne pouvez concevoir une religion sans idées, mais, une fois que la religion se trouve réduite simplement à une idée, elle cesse d’être une religion, elle est devenue simplement une espèce de philosophie humaine.

1)L’homme évolutionnaire n’a pas de goût naturel pour les travaux pénibles. Dans la vie expérientielle, pour marcher de pair avec les exigences harcelantes et les besoins pressants d’une expérience religieuse grandissante, il faut une incessante activité dans la croissance spirituelle, l’expansion intellectuelle, le développement factuel et le service social.

Là, naturellement aussi, l’homme évolutionnaire doit évoluer et évoluer veut dire bouger ! Nous savons bien que sur terre, l’homme n’a pas envie de se casser la tête, il préfère le plaisir, il préfère le moindre effort, comme disait un de nos prophètes. Nous savons parfaitement que les hommes n’aiment pas s’embêter. Cette culture, on l’accepte. Nous sommes sortis de l’animalité et l’animalité n’a qu’un mouvement ; manger, dormir et c’est tout.  L’animalité n’a aucune originalité, ne prend pas des initiatives et ne fait que manger et dormir. Ils prennent juste l’initiative pour pouvoir manger, chercher à manger.

Nous avons ce côté animal…. or, nous sommes évolutionnaires et c’est ainsi que se programme les changements et les transformations, donc, il y a une lutte dans notre nature animale qui est indolente et ensuite peut s’arrêter ou évolutionnaire qui est d’aller de l’avant. Donc, moins que l’on sait on passe là-dessus.

Nous savons que Dieu nous a créé pour être accompli, parfait comme Lui, mais progressivement, pas d’un seul coup, vraiment, pas à pas. Nous sommes nés dans la progression, voyez les adjuvats approfondis, la progression est dans notre être. Bon, par conséquent, l’homme doit toujours s’engager dans des expériences qui le grandit, qui le rend plus, qui le rend meilleur, forcément. Il faut qu’il comprenne, malheureusement, quand il est jeune, il ne comprend pas, quand il est adolescent, on ne lui apprend pas, quand il est adulte, on le pousse à stationner dans un privilège ; j’ai une famille, je possède une voiture, j’ai un avocat ! J’ai ce qu’il me faut, donc, il stationne.

Il faut vraiment harceler l’homme à continuer, sachant être adulte mais cette étape il faut la dépasser. Dans les adjuvats approfondis, on va jusqu’à ce que l’homme soit dans la station de la conscience cosmique, qui est son niveau. Mais dans l’éducation des hommes, vraiment, on nous fait stationner sur le social. Cela est une faiblesse de la culture humaine, il faut revoir cette culture et augmenter le dynamisme afin de progresser vraiment au-delà de son statut d’adulte homme, c’est même le point de départ d’un agrandissement plus grand. Donc, c’est la vie religieuse qui fait grandir l’homme.

Il faut une incessante croissance spirituelle, il faut que nous cherchions toujours à ce que Dieu se manifeste davantage en soi. Et pendant ce temps, je cherche moi aussi en demandant Dieu à le faire, donc, la croissance religieuse, c’est ma volonté qui commande la croissance spirituelle de Dieu. Donc, je croisse religieusement pour croître spirituellement en moi. C’est vraiment une attitude chez l’homme et par conséquent, il faut une incessante activité pour obtenir une croissance spirituelle dans l’expansion intellectuelle (en pensée on voit toujours des faits) et le développer. Le développement factuel et le service social de me donner aux autres, tout cela me permet aussi de me rehausser sur tout. Religion dans le sens de progression, c’est vraiment demander à Dieu tout pour me permettre d’aller plus loin.

2) Il n’y a pas de véritable religion sans une personnalité très active :  c’est pourquoi les hommes les plus indolents cherchent souvent à échapper aux rigueurs des activités vraiment religieuses en se dupant ingénieusement eux-mêmes, en se retirant dans le faux abri de doctrines et de dogmes religieux stéréotypés.

On croit que de penser et de croire en Dieu et Jésus Christ suffit pour aller au paradis !

3) Mais la vraie religion est vivante. La cristallisation intellectuelle de concepts religieux équivaut à la mort spirituelle. Vous ne pouvez concevoir une religion sans idées, mais, une fois que la religion se trouve réduite simplement à une idée, elle cesse d’être une religion, elle est  devenue simplement une espèce de philosophie humaine.

(Là, la philosophie passe !) Effectivement, dès qu’on croit simplement à des : je crois en Jésus, je crois en Marie, je crois en ceci et cela, la religion est morte !

(1) Par ailleurs, d’autres types d’âmes instables et peu disciplinées cherchent à employer les idées sentimentales de la religion pour échapper aux exigences irritantes de la vie. (2) Quand certains mortels vacillants et timides cherchent à échapper à la pression incessante de la vie évolutionnaire, la religion telle qu’ils la conçoivent semble leur offrir le refuge le plus proche, la meilleure échappatoire. (3) Mais la mission de la religion consiste à préparer l’homme à faire face courageusement, et même héroïquement, aux vicissitudes de la vie. (4) La religion est le don suprême de l’homme évolutionnaire, la seule chose qui lui permette de persévérer et ” de souffrir avec patience comme s’il voyait Celui qui est invisible “. (5)  Cependant, le mysticisme est souvent empreint d’une tendance à se retirer de la vie ; il est embrassé par les humains qui n’apprécient pas les activités plus rudes d’une vie religieuse vécue dans les arènes ouvertes de la société et du commerce avec les hommes. La vraie religion se doit d’agir. (6) La conduite résulte de la religion quand l’homme en a effectivement une, ou plutôt quand l’homme permet à la religion de le posséder vraiment. La religion ne se satisfera jamais de pensées velléitaires, ni de sentiments passifs.

1) Par ailleurs, d’autres types d’âmes instables et peu disciplinées cherchent à employer les idées sentimentales de la religion pour échapper aux exigences irritantes  de la vie. 

Il y a vraiment que les Jésus et les pleines de grâces etc… et y croient d’arriver au paradis ainsi. Ce sont des gens faibles, simples, paraissant presque se confiner dans la simplicité, les saluts Marie etc. et c’est également vrai chez les Musulmans, ils se confinent dans un sentimentalisme où on leur dit les choses qu’il faut croire. Ils croient que c’est régler comme ça, ils chantent, ils font des chorales, ils croient que c’est régler. Ce sont les gens qui n’aiment pas faire les gros efforts. On connaît bien cela.

3.   CONNAISSANCE, SAGESSE  ET  CLAIRVOYANCE – P.1121

Introduction :

Les terminaisons sont plus faciles à déterminer dans cette partie du travail ! Ma connaissance est liée à la science, on étudie des faits, on étudie leurs formes, leurs organisations, leurs fonctionnements, on essaie de savoir à quoi cela sert, d’où cela vient, tout cela est de la science.

La sagesse est bien sûr de la relation du fait avec sa source. En ce qui concerne nous les hommes, ce serait l’étude de notre être en relation avec sa source. Là-dessus, par notre méthode, on n’est pas si loin que cela, pourquoi ? Parce que nous savons que la conscience que nous avons n’a pu venir que de Dieu. Et, on sait que c’est la même chose pour la personnalité, on sait que c’est la même chose pour la vie. Donc, entre le fait de notre être de science et sa source, il y quand même des possibilités de relations. C’est Dieu qui nous a créé et l’adjuvat d’adoration se dépêche pour nous amener à Lui. L’adjuvat de sagesse dit : moi aussi, il y a aussi une relation de l’homme à Dieu. Déjà qu’il est en train de se signifier moralement à l’homme. Dieu est bon, il est aussi Amour, il a donné tout cela et il a mis dans l’homme la possibilité de s’exprimer, de se manifester. Donc, la miséricorde Dieu est en nous. C’est un ensemble de choses qui établissent ma relation à Dieu, la sagesse est la relation. La sagesse a bel et bien un sens. L’homme science ou l’homme connaissances, l’adjuvat de sagesse l’a mis en rapport avec la source. Donc, nous connaissons quand même un peu la sagesse. Et encore l’adjuvat de sagesse nous a permis des applications dans divers domaines, 5 domaines dans l’homme, 2 autres en Dieu, nous les avons étudiés.

La clairvoyance, qu’est-ce que c’est ? C’est la révélation de Dieu en nous. La compréhension de la révélation de Dieu est la clairvoyance spirituelle. Donc, nous avons déjà rencontré cela d’une autre manière, plus précise d’ailleurs. On va voir maintenant ce que Melchiziédek va nous dire, n’oublions pas que ce n’est pas un être humain. Nous, dans l’approche humaine, nous avons déjà étudié la science, la sagesse et la philosophie, je préfère le mot de sagesse et la révélation de Dieu. La perception de cette révélation c’est la clairvoyance, c’est la faculté de l’âme ! L’âme par définition est la clairvoyance spirituelle d’une façon simple et très discrète.

Il est dit : les carences intellectuelles, qu’est-ce que cela veut dire ? Ce sont eux qui n’ont pas appris des choses qui n’ont pratiquement pas été à l’école, ils n’ont rien appris 1) Les carences intellectuelles et les insuffisances dans l’éducation handicapent inévitablement l’accès aux niveaux religieux supérieurs, car un environnement de la nature spirituelle aussi appauvri dérobe à la religion son principal canal de contact philosophique avec le monde des connaissances scientifiques. (2) Les facteurs intellectuels de la religion sont importants, mais il arrive aussi parfois que leur hypertrophie soit très gênante et embarrassante. (3) La religion doit constamment travailler sous la pression d’une nécessité paradoxale : la nécessité d’employer efficacement la pensée, tout en faisant peu de cas de l’utilité spirituelle de toute pensée.

dans le domaine de science de la philosophie, il y a vraiment des gens qui ne vont pas loin dans les études. Ils restent au niveau primaire, ils préfèrent aller travailler (ou par nécessité) et ne pas travailler le niveau secondaire ou le niveau supérieur de la vie. Ils leur manquent de ces connaissances et il y a donc ça et là des carences intellectuelles. 

Dans le domaine de la religion, la terrible carence intellectuelle commence très tôt ; on n’étudie pas l’homme d’abord, on veut chercher Dieu quand l’homme ne se connaît pas soi-même.

Mais dans cette méthode-ci, on a bel et bien insisté sur le travail de la connaissance de soi. La conscience du corps, la conscience de la conscience, la conscience de la personnalité etc., cela se sont des connaissances intellectuelles des faits. En religion, si8 l’homme manque de cela, il est très difficile de saisir clairement les rapports possibles avec Dieu. Quand j’ai étudié ma conscience, que j’ai des adjuvats qui me sont donnés de Dieu, mes relations avec Dieu deviennent assez claires. Dieu est bien là pour l’homme ! Les insuffisances, c’est que l’homme a insuffisamment réfléchit sur des connaissances intellectuelles dans l’éducation pour mieux discerner Dieu. Alors, vraiment, l’éducation doit apprendre à l’individu d’utiliser sa pensée pour surtout réfléchir sur les causes, les sources et les origines. Si l’individu n’a pas cela, il est handicapé.

Pour accéder aux niveaux religieux supérieurs, il faut vraiment connaître son être, et je me répète, on s’y est attardé en conscience, en personnalité, en vie, en Libre Arbitre, cela me permet d’aller au niveau supérieur. Quand j’ai conscience de mes 7 adjuvats que je les ai vraiment étudiés, je ne doute pas le moins du monde que ce ne vient pas de moi, ni de Papa, cela vient d’une autre source, alors, la conception de cette source qui est supérieure, avec mes connaissances, je suis bien placé pour le savoir.

C’est difficile de créer une relation, car mon corps meurt- Donc, les religions ne font pas attention, elles n’offrent pas à l’homme des relations intellectuelles qui lui permet d’aller au niveau supérieur. Tu n’as pas d’échelle, tu n’as pas d’ascenseur, alors, comment je vais y aller ? Cela ne va pas ! C’est cela qui est critiqué dans ce paragraphe, le manque de bases intellectuelles, manque d’éducation et de fonctionnement de la pensée, cela fait vraiment des difficultés, cela handicape inévitablement l’accès religieux supérieur. Car un environnement de nature spirituel, aussi appauvrit, sans bases scientifiques dérobe à la religion son principal canal de contact (philosophique) de sagesse.

Quand je connais les faits et les faits de mon être viennent d’un autre, la relation philosophique ou de sagesse m’amène à Lui ! C’est bien l’adjuvat d’adoration qui pénètre dans la nature de Dieu et avec l’adjuvat de sagesse, nous établissons le contact. Et ce contact est acceptable à ma pensée. Donc, dans ce paragraphe, il est en train de montrer que les connaissances sont bonnes, les informations scientifiques de base sont nécessaires pour s’élever à un niveau supérieur, vraiment, et c’est enseigné d’une façon logique. Si vraiment, j’ai fait attention ma conscience et je me répète, parce que j’ai analysé cette conscience qui est faite de facultés qui ne viennent pas de mois, qui viennent d’une autre source extérieure et supérieure, donc, j’ai le moyen de dire que je ne la vois pas, j’ai conscience qu’elle existe, forcément, vu que ma conscience en vient. Donc, cela prépare le sentiment religieux envers Dieu, mais si je n’ai pas ce terrain, vraiment, je perçois mal le niveau supérieur de ma conscience de la religion. Et si maintenant, je la perçois, ça y est, je décolle ! Je suis en contact avec Dieu d’une manière philosophique par la sagesse, parce que je viens de lui, en attendant que je fasse mieux.

2) Les facteurs intellectuels de la religion sont importants, mais il arrive aussi parfois que leur hypertrophie soit très gênante et embarrassante.

Quand l’homme n’a aucune connaissance scientifique d’un fait, il est difficile de prendre ce fait. Il connaît son corps, il va très bien et il comprend en disant : je vais périr, la création de Dieu cela n’a aucune importance et c’est cela qui a créé beaucoup de sceptiques.

(3) La religion doit constamment travailler sous la pression d’une nécessité paradoxale : la nécessité d’employer efficacement la  pensée, tout en faisant peu de cas de l’utilité spirituelle de toute pensée.

Les spéculations religieuses sont inévitables, mais toujours nuisibles. La spéculation dénature invariablement son objet. La spéculation tend à faire passer la religion pour quelque chose de matériel ou d’humaniste, et ainsi, interférant alors directement avec la clarté de la pensée logique, elle fait indirectement apparaître la  religion comme une fonction du monde temporel, le monde même avec lequel elle devrait  éternellement former contraste. La religion sera donc toujours caractérisée par des paradoxes, les paradoxes résultant de l’absence de la connexion expérientielle entre les niveaux matériels et spirituels de l’univers ¬ de la mota morontielle, la sensibilité supra-philosophique permettant de discerner la vérité et de percevoir l’unité.

Les sentiments matériels, les émotions humaines, conduisent directement à des actions matérielles, à des actes égoïstes. Les points de vue religieux, les motivations spirituelles, conduisent directement à des actions religieuses, à des actes désintéressés de service social et de bienveillance altruiste.

Le désir religieux est une quête avide de la réalité divine. L’expérience religieuse est la réalisation de la conscience d’avoir trouvé Dieu. Et, quand un être humain trouve Dieu, le triomphe de sa découverte fait éprouver à son âme une effervescence tellement indescriptible qu’il est poussé à rechercher un affectueux contact de service avec ses compagnons moins éclairés, non pour révéler qu’il a trouvé Dieu, mais plutôt pour permettre au débordement de la bonté éternelle qui surgit dans son âme de réconforter et ennoblir ses compagnons. La religion réelle mène à un service social accru.

(1) La science, la connaissance, conduit à la conscience des faits ; la religion, l’expérience, conduit à la conscience des valeurs ; la philosophie, la sagesse, conduit à coordonner la conscience. 

(2) La révélation (le substitut de la mota morontielle) conduit à la conscience de la vraie réalité ; tandis que la coordination de la conscience des faits, des valeurs et de la vraie réalité constitue la perception consciente de la réalité de la personnalité, le maximum d’être, en même temps que de la croyance à la possibilité de survie de cette même personnalité.

La science, la connaissance, conduit à la conscience des faits ; la religion, l’expérience, conduit à la conscience des valeurs ; la philosophie, la sagesse, conduit à coordonner la conscience. 

Nous sommes toujours dans le message de ce Melchiziédek et la traduction en français reste à éclaircir.

La science, la connaissance se sont les fait, leurs nature, leurs utilisation et éventuellement l’origine; elle conduit par conséquent à la connaissance des faits.

La religion, elle au contraire, l’expérience, conduit à la conscience des valeurs, mais arrêtons-nous là ! 

Les valeurs ont leur justice, ont leur bonté, ont tous ce que l’on veut, mais c’est un concept philosophique, mais la bonté en tant qu’expérience, elle est vécue !

C’est cela la différence toutes ces choses sont étudiées en philosophie en tant que concept. Ici, quand on parle d’expérience ce n’est pas un phénomène de concept, l’expérience de la bonté, on l’a vue, on la connaît et, on peut dire qu’on ne la connaît pas quand on en parle sans l’expérimenter, c’est un simple concept de connaissance philosophique et quand on vit la chose, c’est une expérience.

Quand je suis bon, ce n’est pas une question de bonté, je vis la bonté, donc l’expérience c’est un peu ce que l’on vit ici. Dans la religion, c’est l’expérience de la nature de Dieu et que la nature de Dieu c’est très important de faire a différence, parce que cela peut nous laisser sur la signification de la Bonté, bon, c’est philosophique, et la Bonté quand je la vis, je suis la Bonté qui se manifeste en moi. Donc l’expérience est vraiment d’être la chose et cela nous conduit à ce moment-là à savoir les valeurs.

La philosophie ou la sagesse conduit à coordonner la conscience ; c’est à dire, la conscience des faits et la conscience des valeurs, de les mettre ensemble. C’est vite dit, c’est vrai, mais dans la vie, il faut de l’attention. Comment peut-on mettre ensemble la conscience des faite et la conscience des valeurs, l’expériences des valeurs, c’est cela le problème. Donc, c’est vite dit, mais ce n’est pas aussi rapidement clarifier. Et dans ce cas-là, puisqu’il s’agit de l’homme, soyons tout à fait clairs, c’est la connaissance et la conscience de l’homme effectivement qui faut mettre en rapport avec les valeurs, l’expérience des valeurs. Cela trompe beaucoup si tu prends le mental et le corps, on a du mal, il faut mettre le corps et la bonté !

Quand l’homme prend conscience de lui en tant de connaissances et rencontre sa conscience des adjuvats, sa personnalité, sa vie, voilà des faits chez l’homme qui sont intéressants et pourquoi ? Parce que cette conscience de l’homme et je me répète, Conscience Personnalité Valeurs, cela va être coordonnable à la conscience des valeurs. C’est très important avec les gens de leur expliquer, parce que la conscience de ma conscience, la conscience de ma vie, la conscience de ma personnalité m’amène d’où cela vient ! Cela vient d’une source de vie, une source d’intelligence et de personnalité et ne pas de Maman et Papa. Cela à quoi cela me sert ? Oui, je me rends compte que celui qui m’a donné cette conscience et cette personnalité et la vie, cela est une valeur. Quand j’ai la connaissance de la valeur, celui qui me l’a donné, il est bon, il est fait d’Amour, il est Miséricorde. Donc, les choses qui viennent de lui touche à lui en rapport de Bonté Amour Miséricorde. Jésus a dit : qu’il vient de Lui !  c’est moi, cela touche à Lui et je reconnais les valeurs de Bonté Amour Miséricorde, donc je veux le connaître.

Car les manifestations de valeurs e sont connaissables à ce moment-là, bien sûr au nom de la moralité, on vit Sa Bonté, son Amour, et sa Miséricorde. Donc, je suis de même de le connaître et de le contacter. C’est ainsi que la conscience des faits et celle des valeurs sont coordonnées dans ma pensée et je renforce cette coordination pour qu’elle devienne encore plus tangible en disant que quand il m’a donné ma conscience, ma personnalité et ma vie, il me les a données dans une proportion humaine. Cela vient de lui, mais les proportions sont humaines. Qu’est-ce que cela veut dire : Ma vie, je suis vivante et cela vient de Lui dans mes proportions humaines, je meurs et……(je change)… il est la vie que j’ai, mais, je l’ai que dans une proportion simplement humaine pour “ 100 ”ans…., mais je la veux dans la proportion totale, je veux l’immortalité !

Donc, vraiment, la vie que j’ai cela vient de Lui, donc. La vie que je vis, c’est Lui que je vis, seulement, je ne veux pas la vivre seulement dans le temps, mais je veux la vivre toujours : donc, DONNES-MOI L’IMMORTALITE !

La foi vient se lier à la coordination des faits de mon être et les valeurs qui sont les sources. Alors, l’homme est vraiment prêt à recevoir cette influence, qui, je le répète, doit toujours être demandée et redemandée car c’est un phénomène de croissance. Cela viendra petit à petit et va grandir jusqu’à la plénitude. Donc, il faut aider l’étudiant de mieux saisir la relation de coordination entre la conscience et les faits, et la conscience et les valeurs.

Chez les Melchiziédeks, il y a des choses qui sont déjà établis, mais pas pour nous. Il faudra faire attention à ces défauts d’interprétation, ils sont créés ici.

Dans ces enseignements, nous retrouvons de temps en temps ces difficultés des interprétations des Melchiziédeks, mais même Jésus avait un gros problème, car par moment, en parlant des affaires du Père, il se comportait comme un fils Micaël  et non pas comme un humain. Il fut rejeté au début, il a parlé en parabole. Il a demandé à ses apôtres, il faut instruire les hommes sans miracles et ne pas donner l’idée comment les faire !

Il faut bien aider les hommes à connaître le processus de coordination des faits avec les valeurs à l’intérieur de son être parce qu’il ne faut pas faire d’erreurs.

Les montagnes n’ont pas à connaître Dieu, les arbres non plus, les océans non plus, ce sont les hommes, donc, la coordination de la conscience des faits et de la conscience des valeurs.  Le problème qui est posé ici n’est pas celui des montagnes ni des arbres ni des anges, c’est le problème des humains ! C’est une articulation importante pour l’homme comment on coordonne la connaissance des faits, la conscience des faits à la conscience des valeurs quand même la pensée humaine est apte à faire la chose. C’est très important. Même en français, ce n’est pas dit non plus. N’oublions pas l’être humain et c’est encore de lui dont il est question, pas autre chose, ne nous trompons pas, car la pensée philosophique nous amène à des trucs qu’en fin de compte, je me perds ! C’est l’homme qui est un être qui a à coordonner la science et la spiritualité, c’est chez l’homme où cela se passe. Dieu est en lui, l’homme, ce n’est que l’homme qui peut découvrir ce Dieu, il faut qu’il fasse l’articulation des deux réalités, qu’il les coordonne. Le champ de réflexion n’est pas assez précisé par Melchiziedek, comme on dit en science, ce n’est vraiment pas assez clair à ce niveau. L’être humain fait de la science de son être en connaissant vraiment sa conscience, sa personnalité, sa vie, son Libre Arbitre. Ce sont les faits de l’homme, les connaître c’est faire de la science, ce sont nos études aussi.

L’homme possède un lien, comment amener ces faits à Dieu ? Dans un premier temps, qui les lui a donnés ? Une coordination demande une logique, une relation de logique qui donc me les a données. On recommence par le commencement : est-ce moi-même ? Je dois les redonner à moi-même ? Si c’est Maman, je la redonne à Maman ? Un fait que l’on donne à sa cause et ce n’est pas moi, ce n’est pas Maman, ce n’est pas Papa. Il faut bien qu’il ait un donateur. Tus les hommes ont reçu, la source était vraiment surabondante. Nous ‘avons déjà étudié, il y a longtemps. Il existe, les faits sont là, la source existe et cela se donne tout le monde, c’est plus qu’un homme, c’est un Dieu.

Alors donc, Dieu est la source de ma conscience, il est aussi de ma personnalité, il est aussi de ma vie, enfin, tout ce que je suis. Tout ce que je suis, la source en est Dieu. C’est une approche intellectuelle, causale et solide comme le fait la science qui en est sortie de cela. Faisons un pas de plus : je découvre dans ce don une valeur, laquelle ? La Bonté, donc la source est valeur et je peux être conscient d’une Bonté, donc, je suis conscient de la valeur de la Source. Dans la Source il y a de l’Amour là-dedans, la Source, il y a de la Miséricorde dedans et j’en passe. Donc, je prends conscience que les faits que cette Source m’a donnés ce sont installés en moi dans les valeurs de ce même donateur. Eh oui, donc, il est à la fois fait et valeur, ma pensée s’est coordonnée. Il est à la fois la Source de mon être depuis ma naissance et il est à la fois la valeur de mon être, on ne peut pas les séparer. Si ce n’est pas la Bonté, l’Amour et a Miséricorde de Dieu en valeur ce ne pourrait exister. Donc, si dans ma pensée, je coordonne effectivement les faits de mon être et la valeur de la Source de mon être et elle est par rapport à ce que je suis. 

Comment cela pourrait être sans ces valeurs ? Dans la conscience, la connaissance de mon être et la valeur de la Source de mon être, c’est parfaitement coordonné. C’est clair que Dieu est à la fois la Source scientifique de mon être des faits et en même temps Dieu est la valeur, là, je coordonne la conscience des faits avec la conscience des valeurs. C’est faisable que dans l’humain.

Mais, cela ne suffit pas de coordonner la chose, je dois aussi être certaine de leur unité dans mon être et de la Source de mon être, c’est une unité causale. Il y a une idée de valeur dans mon être de Bonté Amour et Miséricorde, j’avoue que c’est en même temps, vu que c’est un étant un être que j’ai reçu ces choses, donc au niveau des faits et des valeurs et je peux Lui dire : Je veux te connaître ! Il ne peut pas en échapper, il est le Père, les adjuvats viennent de Lui, donc, je ne suis que Toi ! Montre-toi à moi, maintenant, je veux te connaître.

Tout cela est des hypothèses solides, tangibles que c’est de TA part. Il va me dire : Moussa, j’aimerai venir à toi, t’enlever le mystère et t’enlever cette couverture ; enlèves-là et tu me vois ! Je suis ton âme, et, ton âme c’est Toi ! Il le fait progressivement, donc, quand j’arriverai, je lui dirai : Je t’attends mon Dieu, je suis au rendez-vous, tu ne peux m’échapper ! Je ne t’échappe pas, je suis Toi ! Si tu es Moi j’attends tous les jours ! Il faut le marteler, je tape, comme a dit Jésus : prenez le ciel d’azur et frapper, frappez et demandez, donc faites-le ! Et je veux la Vérité aussi, tu es aussi la Vérité vu que je viens de toi ! Et ma volonté vient de Toi et je veux vivre Ta volonté, il faut que l’on fasse ensemble mon Dieu ! Explique-moi comment tu as créé la conscience cosmique ? Je suis toujours en attente, je sais que tu as l’éternité, mais passe un peu dans le temps, dépêches-toi !

Selon le type de raisonnement qui nous est permis par le fait de se connaître en tant qu’homme connu et de reconnaître que cela vient d‘une Source et de reconnaître que c’est un phénomène de donation, d’amour de bonté de miséricorde, on ne peut que dire, eh bien, mon Dieu, je t’attends, je ne peux attendre d’autres que toi ! Ce besoin de la foi, c’est aussi toi qui me l’a mis en moi, c’est toi qui est à la base de tout cela, Tu es derrière la cause de mon être et derrières les valeurs qui sont installées dans mon être ; tu es aussi derrière des besoins profonds de mon être, la foi, l’immortalité, je t’attends tous les jours. Oui, il faut le faire, même s’il y ainsi conçu sa foi. Dieu est tellement clair pour lui, il n’y a pas d’ambiguïté dans tous les coins de sa pensée et il rencontre Dieu. Il m’habite, je peux en vivre. Donc, l’homme demande à Dieu de se manifester. Et c’est cela l’expérience spirituelle quand il attend et demande : Manifeste-toi réellement en mois ! La réalité de mon être causal et de valeur. Manifeste-toi, la réalité de mon être, ma foi, je t’attends ! C’est toi qui a planté toutes ces choses. C’est air de vouloir de mon être, tu as vraiment mis la graine, je t’attends ! Mais, nos le savons, le seul fait de s’élever vers Dieu, cela me rend déjà surhumain parce que j’ai conscience d’avoir les dons de Dieu en moi. Alors, moi aussi, je pars d’un niveau humain, ma volonté est le canal par lequel la pensée et l’esprit aussi passe.

Nous nous connectons à l’esprit par l’adoration et la sagesse et en même temps, cela permet aussi à l’Esprit de vraiment descendre au niveau de l’individu. La connexion peut se faire, les deux volontés peuvent se rencontrer. Elles se sont parées d’identités, je te veux Toi Dieu parce que tu es valeur, qualité de mon être et aussi la Source, bien sûr qu’il me veut aussi, parce qu’il est la Source pour satisfaire mon être, le besoin de Lui est d’être dans l’être ! C’est Dieu qui a aussi besoin de ma personnalité. Les deux volontés sont également très coordonnées. Je te veux mon Dieu ; il répond : Je te voulais déjà avant que tu me veuilles !  Alors, c’est arrangé. Les résultats font grandir l’âme tout doucement. Si l’homme persiste dans cette relation, après un certain temps, il a une claire conscience de Dieu, ce qu’on appelle la clairvoyance spirituelle. Dieu aussi a claire conscience de l’homme parce qu’Il est entré dans la personnalité de l’individu pour satisfaire les besoins que l’individu lui apportait et quand c’est arrivé là-dedans, la personnalité peut dire, il y est, je suis dans l’éternité de vie, au-delà de ce cadre physique. Donc, c’est tout cela qui est dans ce texte.

La révélation (le substitut de la mota morontielle) chez nous c’est l’âme qui conduit à la vraie conscience de la vraie réalité, donc de lui-même. Coordonner les faits à la valeur et je vivrais la réalité de la valeur, manifestes-toi en moi, je t’attends ! Quand il se manifestera à moi, à la fois par les faits et les valeurs, cela viendra très clair en moi, j’attends ces réalités ! Manifeste-toi et le maximum d’êtres à la fois, ainsi que la possibilité de survie de la même manière. Cela m’éclaire aussi bien sur les faits et les valeurs quand Dieu se donne et cela éclairera encore davantage ma personnalité, cela fait partie de ma propre personnalité et je peux conclure : je vais survivre !

C’est un passage de philosophie de Melchiziédek, mais à ce niveau-ci, ce n’est pas bien présenté pour les hommes. Donc, il faut penser et compléter les choses. Il y a beaucoup de passage comme ça, il l’a dit en percevant lui-même de son point de vue de Melchiziédek, ils sont dotés du mécanisme du Super Univers, donc pas celui des adjuvats et des super adjuvats. Le Super Univers perçoit la pensée paradisiaque.

Quand on fait que lire le livre, on ne peut comprendre tout cela, il faut vraiment réfléchir plus loin. Ils utilisent leurs instruments de travail et aident les hommes ce qui est à combler. C’est pour cela que les lecteurs font des erreurs dans leur interprétation, ils ne savent pas d’où cela vient exactement et comment cela y fonctionne.

Un Melchiziédek n’a jamais été bébé, ils sont créés adultes. On essaie d’inculquer à la pensée des ascendeur(s) la conscience de la trinité paradisiaque, ce n’est vraiment pas le niveau humain. Les éducateurs doivent combler ces lacunes et ramener les choses à un niveau humain où eux n’ont pas pu descendre.

(1) La connaissance amène à donner un rang aux hommes, à faire naître des couches sociales et des castes. (2) La religion conduit à servir les hommes et à créer ainsi l’éthique et l’altruisme. (3) La sagesse conduit à une meilleure et plus haute communauté dans nos idées et avec nos semblables. (4) La révélation affranchit les hommes et les lance dans l’aventure éternelle.

1) La connaissance amène à donner un rang aux hommes, à faire naître des couches sociales et des castes. Tu reconnais que tu as étudié ces choses avec l’adjuvat de sagesse. Ah, tu croyais d’avoir fini, mais voilà, tu le retrouves aux dixièmes séminaires. C’est la ruse de Moussa Dès le début, il vous fait connaître des choses centrales et fondamentales. Dès le début, vous étiez au-delà même de la moitié de la connaissance, cela préparait votre pensée à la rencontre.

Bon, si tu es bien en math, on te met dans la classe des mathématiciens, si tu es bien en sophro-analyse, on te met dans la classe des sophro-analystes….. La science amène un rang à l’homme à faire des couches sociales, des castes. Et aussi selon la couche sociale on valorise la chose. Voir les bourgeois et les autres sont considérés comme des pauvres. Donc, la société vient de la science, c’est la science qui fait voir é chacun ses aptitudes, au mois pour ceux qui veulent reconnaître d’atteindre quelque chose. Donc, la connaissance donne aux hommes des rangs sociaux et même de castes.

2) La religion conduit à servir les hommes et à créer ainsi l’éthique et l’altruisme. 

La religion, elle demande qu’on serve les hommes et elle fait ainsi la morale et l’altruisme. Donc, la religion te dit de t’occuper de ton prochain et de l’aimer du même pied d’égalité que tu t’aimes toi !

3) La sagesse conduit à une meilleure et plus haute communauté dans nos idées et avec nos semblables.

Alors là, la sagesse dit évidemment, il faut ordonner la conscience que tu as de toi, tes idées sur toi-même, il faut savoir les coordonner avec de l’Amour de tes semblables. Autrement dit, il faut savoir aimer les hommes, mais aimer les hommes m’amènera d’abord à les connaître. Donc, avec ce que j’ai, ce que j’ai appris, il faut connaître les hommes pour reconnaître ce que l’autre veut savoir par rapport à ce que je sais. En tant que médecin par exemple, je peux savoir ce que l’autre a besoin par rapport de ma médecine. A ce moment-là, je dois le servir, l’enseigner, le soigner ou autre chose en faisant également appel à ce que cet homme doit être dans la phase finale. Il doit appartenir à la spiritualité. Comment disposer de ma spiritualité, dans ma conscience et dans mon métier à la fois pour servir ?  Il faut qu’au point de vue de la sagesse, je coordonne l’idée par exemple d’un médecin avec la spiritualité Avec mon idéal spirituel, il faut que je mette les deux ensembles dans le service aux hommes. C’est ainsi que l’homme apparaîtra vraiment dans la société sous deux formes de produits, la forme de son statut d’homme (médecin, enseignant) et, en plus maintenant, la perception de sons statut spirituel. Et je dois servir l’homme en utilisant ce double talent.

4) La révélation affranchit les hommes et les lance dans l’aventure éternelle.

Il faut dire que si vraiment j’ai Dieu dans mon cœur et si j’ai également un métier dans mes mains et que je suis dans la société, le fait de faire passer Dieu dans mon cœur, dans le métier qui est dans mes mains, cela fait couler Dieu continuellement à la société, la fraternité et cela fera descendre davantage Dieu en moi. Je finis par être quoi ? Je finis par être Dieu. Il descend et coule à travers moi et mes mains, alors, je finis par conséquent à ressembler qu’a Dieu, en somme, à comprendre que la vérité en définitive c’est d’offrir Dieu aux hommes.

Il faut d’abord l’avoir, il faut d’abord aussi tenir les hommes dans les mains et cette attitude me lance, bien sûr, dans l’aventure éternelle. L’aventure éternelle de Dieu qui se donne sans cesse. Et dans cette aventure de Dieu qui se donne sans cesse, mon être se donne sans cesse à dieu, je deviens Dieu, Dieu devient homme. C’est encore une façon de parler de cette ascension vers le Paradis de cette perfectionnement continu de l’homme, ceci serait encore la très belle chose et voilà, le grand HIC et cela va redresser le raisonnement boitant.

Autrement dit : est-ce que le médecin que je suis et le Divin que je suis cela marche nécessairement ensemble ? A l’heure actuelle des choses, c’est à se poser la question. (cela me fait très peur) C’est parce que ces paroles s’adressent à une société normale qui aurait été entièrement aidée par le prince planétaire de la terre. Bien qu’au moins par Adam, bien arrangé par le Fils Magistrat qui aurait dû venir ; voilà la société normale !  Donc, maintenant il n’y a pas cette société, donc, il faudra corriger la pensée des étudiants qui avoir des réactions. Voilà le système boiteux par rapport à nous. Dans une société “ normale ” effectivement ces choses ne poseraient aucun problème, parce que la pratique sociale est la manifestation sociale de Dieu. Donc, si tu as Dieu, cette société-là pourrait la manifester. Même Jésus a cru que la société était prête, il se mettait à parler de Dieu comme ça, c’est clair qu’il fut rejeté. La société n’était vraiment pas préparée pour cela, et voilà, donc, nous aussi, nous serons obligés de réarranger ce discours, car nous sommes dans une société boiteuse.  

La science sélectionne les hommes ; la religion aime les hommes, jusqu’à  les aimer comme vous-mêmes ; la sagesse fait justice à la différence entre les hommes ;  mais la révélation glorifie l’homme et révèle sa capacité d’association avec Dieu.

La science s’efforce vainement de créer la fraternité de la culture. La religion amène à l’existence la fraternité de l’esprit. La philosophie recherche la fraternité de sagesse ; la révélation dépeint la fraternité éternelle, le Corps Paradisiaque de la Finalité.

La connaissance fait naître de l’orgueil dans le fait de la personnalité ; la sagesse est la conscience de la signification de la personnalité ; la religion est l’expérience de la connaissance de la valeur de la personnalité ; la révélation est l’assurance de la survie de la personnalité.

La science cherche à identifier, à analyser et à classifier les parties fractionnées du cosmos illimité. La religion saisit l’idée-du-tout, l’ensemble du cosmos. La philosophie essaye d’identifier les segments matériels de la science avec le concept de clairvoyance spirituelle du tout. Sur les points où la philosophie échoue dans cette tentative, la révélation réussit en affirmant que le cercle cosmique est universel, éternel, absolu et infini. Ce cosmos de l’Infini JE SUIS est donc sans fin, sans bornes et incluant tout ¬ il est sans temps, sans espace et non qualifié. Et nous rendons témoignage que l’Infini JE SUIS est aussi le Père de Micaël de Nebadon et le Dieu du salut humain.

(1)  La science montre la Déité comme un fait ; la philosophie présente l’idée d’un Absolu ; (2) la religion envisage Dieu comme une personnalité spirituelle aimante. (3) La révélation affirme qu’il y a unité entre le fait de la Déité, l’idée de l’Absolu et la personnalité spirituelle de Dieu ; de plus, elle présente ce concept comme étant notre Père  le fait universel de l’existence, l’idée éternelle du mental et l’esprit infini de la vie.

1) La science montre la Déité comme un fait ; la philosophie présente l’idée d’un Absolu ; (2) la religion envisage Dieu comme une personnalité spirituelle aimante.

C’était déjà étudié dans l’adjuvat de sagesse, mais c’est bon d’y revenir en ce moment, c’est juste dans le cadre de ‘expérience religieuse voulant dire vraiment l’intégration de la vie de Dieu dans la mienne et l’intégration de ma nature dans la nature de Dieu. Si ce n’était pas ainsi, vraiment, la vie humaine n’aurait aucun sens. On n’est pas son propre créateur, l’homme n’est pas son propre créateur et cela est très important. L’homme a découvert que qu’il lui faut nécessairement un créateur.

Tout cela est vécu dans la vie de l’âme et cela donne une autre âme. Il est importé de se le répéter pour enlever l’orgueil humain et la vanité humaine, souvent créé par notre éducation, surtout notre éducation philosophique, philosophes qui vont jusqu’à croire qu’il n’y ait pas de créateur. Sans pouvoir démontrer qu’il n’en ait pas. Les hommes de science qui couvrent la science sont loin de penser qu’ils ont été créés, pour eux, ils existaient comme ça ! Mais, c’est pour cela qu’il est bon d’être sérieux avec soi-même.

L‘être humain n’a pas l’habitude de penser à Dieu et dans ce monde-ci, il est habitué naturellement à ce monde. Penser au monde spirituel, ce n’est pas naturel à l’homme. C’est cela le problème pour les éducateurs spirituels, cette pensée est une acquisition et c’est une acquisition suprême pour l’être humain. Entre la vie physique et la vie spirituelle du deuxième séminaire, il y a un gouffre incommensurablement grand. Les éducateurs ne doivent pas perdre de vue cet élément entre l’homme et Dieu, c’est ce qui les sépare, c’est sa nature, c’est incroyablement grand. Donc, quand on veut amener l’être humain à concevoir la nature divine, il faut le faire pas à pas et tous les jours, il faut recommencer. C’est progressivement que l’homme atteint ce nouveau statut d’être, il n’y est pas né.

Les anges ne font pas cela, ils sont nés dedans. Les Ajusteurs, tous les autres êtres, mais l’homme n’est pas né dans la divinité ; on dit qu’il n’est pas né dans la lumière et dans la vie divine ; c’est une acquisition. Et cette acquisition, il n’y a que sa propre volonté qui doit assumer cet effort. Il n’y a pas d’autres assistance, il n’y a que sa propre volonté. Cette pensée qu’il a, c’est tout ce qu’il a ! Alors par conséquent, quand on élève les hommes à Dieu, il faut leur faire faire ce que Jésus a voulu à ses apôtres en dernière heure : il faut éduquer les hommes.

Pas à pas, c’est tout ! Tous les jours remettre la machine en route ! Ainsi, on peut obtenir une réaction du côté de Dieu, si l’homme fait un pas vers dieu, dieu fait un pas vers l’homme. Cela veut dire : si la volonté humaine dit chaque fois ce qu’il veut, la réponse également qui est énergie et qui construit le chemin à amener Dieu à l’homme et l’homme à Dieu. Donc, de le faire pas à pas, c’est important et c’est pourquoi qu’à chaque fois qu’on fait cet enseignement-là, il faut remettre sur le tapis de la conscience, le mécanisme de la relation de l’homme et de Dieu. D’une telle façon que la pensée humaine dira : Oui, c’est vrai ! Ce sont ces fameux Ouïs qui construisent l’être, des ouïs de pas à pas. Or, il peut avoir plusieurs méthodes si on veut, mais celle que j’utilise vraiment pour mes étudiants pour qu’ils éduquent plus facilement les hommes et ceci c’est de travailler objectivement, scientifiquement, mais alors, véritablement, sur le fait de causalité. Est-ce que je suis la cause de mon être ? Non, cela évite de l’orgueil, on a tendance à se suffire parce que je suis agrégé, parce que je suis ceci ou cela, mais trop de suffire pour se croire supérieure à tous. Donc, si je me répète tout le temps et de façon vérace que je ne suis pas mon créateur, il y a un autre, c’est qu’on peut dire aussi :

Admettre les choses, ou mettre la chose en moi-même, j’admets, je mets en moi du latin, j’introduis cette vérité en moi. Je l’accepte ; premièrement, c’est déjà quelque chose dans l’attente de la pensée humaine vers la pensée de Dieu et c’est important.

Deuxièmement, je reconnais que celui qui m’a créé est vraiment bon, il est moralement aimé aussi, il est moralement également généreux parce qu’il me permet de produire, par ce qu’il m’a donné des choses qui m’intéressent. Vraiment, il m’a donné une individualité en moi, si on veut, je suis un être bien individualisé qui peut maintenant avec ce qu’il a reçu de Bonté Amour et Miséricorde VIVRE. C’est que non seulement, Il est mon créateur, la Source, mais il est aussi donateur à ce que j’ai une conscience et une personnalité, mais il est aussi qualitatif par l’amour et la Bonté. On doit admettre, c’est très solide. Sur le plan de la Source de mon être, sur le plan de ce que j’ai réellement reçu et sur le plan comment je l’ai reçu ! Donc, cela fait 3 liens que lui a pensé, Dieu ! Donc, ainsi, l’être humain dira en conclusion : il n’y a rien é faire, j’existe par Lui, je vis par Lui, je subsiste par Lui ! Ce qui veut dire, en Dieu nous avons notre VIE.

Ici, je l’ai clarifié par une démonstration précise. Je n’ai pas d’autre Source de Créateur que Dieu, je subsiste par Lui, vu qu’il m’a donnée les éléments pour mon corps, ma conscience, ma personnalité, je ne me maintiens aussi pas par sa Bonté, que je reconnais puis son Amour et sa Miséricorde. Il en est la Source, il me l’a donné. A partir de là, l’individu dit ce qu’il lui faut, il ne cherchera nulle part ailleurs, vue qu’il l’a ! Dieu, il sait ce qui est nécessaire à mon existence, c’est Lui la Source à mon fonctionnement, c’est lui la Source, dont tout cela se clarifie en moi d’une façon sans équivoque, que Lui et moi devront être UN.

Jésus l’avait dit : vous êtes UN ! Vous n’êtes ni un ni deux, il y a une règle d’unité entre Dieu et moi. Nous avons bel et bien une relation d’unité. Il est question maintenant que je cherche et que je sache qu’est-ce qui nous faut, donc, je vais le lui demander.

Les questions : il faut toujours les rendre plus fines et plus précises, alors voilà : c’est la FOI qui y faut ! Ah oui, c’était l’immortalité, l’éternité, l’infinité, la conscience centrale, ah voilà des choses que je n’ai pas encore et que mon être a besoin. C’est Lui seul qui peut les installer. Ceci met à tout moment et je peux me rendre compte que la relation de Dieu et l’homme est une relation vraiment bien fondée dans un rapport d’unité et ce n’est pas une unité abstraite, philosophique, non, c’est ne unité d’existence de vie.

Pourquoi, oui, je suis vivant, je veux la vie immortelle vu que je suis mortel. La vie immortelle est bel et bien une réalité de mon être. L’être et mon existence que je veux et à qui je peux le demander, ce ne va pas à moi-même, je le veux, si je l’avais, je ne le voudrais pas, je le savais, c’est la vie. J’ai ce besoin, il faut le satisfaire, si moi-même je serais le Créateur, je le ferai, donc, nous cherchons. Je me rends compte que je dois me tourner mers la Source pour l’obtenir et cette Source qu’on appelle dans sa nature, la Déité. Elle est vraiment cette Déité dans la Science et les hommes de science l’ont dans leur raisonnement. La Déité est la source de mon être physique, la Déité est la source de ma conscience, la Déité est la source de ma personnalité et c’est aussi la Source de mes idéaux.

Pour l’être humain, Dieu se définit ainsi. Cette approche est plus claire, logique et plus directe.

Ce n’est, en fait, pas très compliqué, mais Melchiziédek ne peut le faire autrement. C’est simple ; ma conscience vient de Dieu, donc de la Déité est la Source de ma conscience ; ma personnalité etc. La Déité a aussi la réponse à mes idéaux, l’immortalité, la vérité, donc, c’est parfaitement clair qui est l’idée : c’est la source ! Je pense que ce raisonnement est beaucoup plus riche.

(1) La science montre la Déité comme un fait : Melchiziédek a simplement dit et rien expliqué. Et pour les hommes, il faut expliquer et démontrer ce que l’on dit parce que les hommes ne voient pas les choses. 

Qu’est-ce que cela veut dire : La Science a étudié les corps astronomiques, les mouvements de l’énergie dans l’espace et la science s’est rendu compte que chaque corps sort d’un autre, c’est ce qu’on appelle LA CAUSALITE.

La lune vient de la terre, la terre vient du soleil, le soleil vient de la nébuleuse Andromède, ainsi de suite et jusqu’à un certain point, la science s’est rendu compte qu’il y a une Source de laquelle se dégage tous ces énergies qui se trouvent dans l’espace, les astres que nous observons. Par quelle théorie, par la gravitation, puisque tout tourne autour d’un Centre. Il faut bien que ce soit d’un Centre, c’est la Création. Ce Centre qui est la Source des énergies et qui en ce moment encore pour eux est un fait arrêté. Qui est cette source, la science ne le sait pas et s’est arrêté là ! Nous reconnaissons Dieu comme étant la Source de cette énergie, la Déité. Cela est un travail scientifique, mais Melchiziédek n’a rien expliqué.

Plus tard, nous avons étudié, par les informations que nous avons reçues, le Cosmos. Nous ne l’avons pas créé, il a déjà été là. On a droit é l’information, la terre on y est et on se trouve ici. Il faut qu’on s’informe depuis quand elle est là ? C’est une révélation, je veux bien, mais… mais la création du Cosmos ? nous allons prendre la démarche inverse, nous allons l’étudier :

Tout est parti de ce même Centre dont par la Science, parti vraiment de Dieu, des émanations de Dieu qu’on appelle Maîtres Architecte de l’Univers, ils ont transformé la volonté de Dieu, versé dans l’espace de l’énergie, ils ont fait ce travail ce que nous voyons comme corps. Donc, la science dit bien qu’il y a un Centre, mais l’information cosmique divine de ce Centre est partie dans ces corps que vous voyez. C’est ainsi que la boucle est bouclée. Nous l’étudierons plus tard ce que la science ne connaît pas de l’autre côté, la science ne veut pas penser à une information donnée avant que les hommes commencent à penser. Ce qui est là, c’est d’avant qu’ils pensent ! Si c’était vraiment…. Je ne me casserais pas la tête ! Je saurais comment le soleil est là, car le soleil était bel et bien là avant que je sois. Il y a environ 4 ou 6 milliards d’années, il a encore 6 milliards d’années à vivre selon les informations du livre Urantia. Le soleil est là, bien avant nous. Alors les scientifiques expliquez-nous comment le soleil est là ? Les gens arrivent à dire qu’il est sorti d’Andromède, et puis Andromède vient d’où ? La réponse finale ne peut venir que de Dieu !

Alors, les hommes ne prennent que la démarche humaine et étudient les corps etc…, alors si rein n’avait été cassé sur terre, que Caligastia ne s’était pas rebellé, alors nous aurons eu naturellement ces informations directement. Cela, nous aurons tellement mieux appris les choses sans se fatiguer ! Ce sont les informations auxquelles nous avons droit, c’est de la régularisation si on veut, mais c’est simplement l’histoire des choses !

Ce qui nous en ferons et ce qui en sortira, ce sera une révélation de Dieu. Lui, il comprend tout. Les informations ne sont pas la révélation. Nous apprenons la masse de connaissances qui sont là, c’est cela de l’information, c’est tout.

Même si la science pense à une source d’où tout est partie et appelle cette source Déité. La philosophie, elle présente l’idée d’un Absolu, là aussi, ce n’est pas expliqué !

Il faut expliquer aux hommes. Les philosophes disent, ah, l’homme est une idée d’être, c’est vrai ! L’éléphant aussi est une idée d’être, même la chèvre que je mange, aussi ! et le mouton, les papillons, les insectes sont des idées d’êtres. Chaque espèce est une idée, dans chaque espèce il y a une idée de son être. Alors quand les philosophes comptent ainsi les êtres, ils se rendent compte qu’il y a tellement et tout cela semble être sorti d’une source de conception. Cette source qu’on dit, il paraît vraiment absolu qui contient toutes les idées possibles d’êtres. Donc, le philosophe dit : moi, j’observe tellement d’êtres et des idées d’êtres, les arbres, les végétaux, les insectes, les hommes, en fin de compte, cela me paraît la source des idées absolues. Elle contient une façon innombrable d’idées.

  1. La religion envisage Dieu comme une personnalité spirituelle aimante.

Là, le terme de religion est mal choisi, ni catholique, ni musulmane, ni juive, il veut dire la relation avec Dieu. Ce n’est pas claire ainsi ! Pourquoi peut-on voir la religion, envisager Dieu comme une personnalité spirituelle aimante ? La religion n’exclut pas grande chose, il regarde l’humain ce que j’ai reçu., je l’ai reçu par un acte de Bonté, mais le prêtre ne saurait dire cela, le marabout non plus ! Incroyable comment ces gens-là sont des cancres. Inévitablement, tu ne peux qu’aimer ton Créateur qui t’a donné tout cela, c’est gratuit. Et tu reconnais que c’est si bien que tu ne voudras pas t’en séparer. Mais il a annulé aussi. (?) La Bonté, l’Amour et la Miséricorde donc, Dieu est aussi une source morale à l’égard de moi. Personnes explique ! Il a créé ciel et la terre, cela m’est égale la terre, donc, on peut considérer Dieu comme une personnalité de Bonté, d’Amour et même de Miséricorde. L’homme peut effectivement l’envisager de ce point de vue-là.

3) La révélation affirme qu’il y a unité entre le fait de la Déité, l’idée de l’Absolu et la personnalité spirituelle de Dieu ; de plus, elle présente ce concept comme étant notre Père ¬ le fait universel de l’existence, l’idée éternelle du mental et l’esprit infini de la vie.

Explication : Le fait de la Déité, le fait de Dieu, l’énergie et l’idée de l’Absolue, Source de ce qui existe est la personnalité spirituelle de Dieu, étant capable de Bonté Amour et Miséricorde. C’est toujours une personnalité qui est capable d’aimer, ce sont les qualités de valeurs. Ce n’est pas de l’énergie, c’est une personnalité qui peut le faire par l’Esprit. 

Ma personnalité est vraiment capable de comprendre la Bonté et de l’adorer, de concevoir l’Amour et le recevoir comme aussi la Miséricorde. Donc, Dieu est nécessairement une personnalité aimante…….. de la pensée, les idées et Dieu est une personnalité spirituelle, c’est toujours le seul et même Dieu. En tout cas, chez moi, il est unité. Unit forcément de ma pensée, mon corps se soumet à ma pensée, mon corps est subordonné à ma pensée (2e séminaire) mais ma pensée est aussi coordonnée à ma personnalité. 

Ma pensée ne fait rien sans que cela vient de ma personnalité et la personnalité ne peut rien réaliser sans être soutenu par la pensée, donc il y a unité. Si je sors d’ici : je veux (c’est ma personnalité) le fait de sortir est de la pensée, c’est rationnel. Il faut l’idée et la manière pour sortir, ce n’est pas la personnalité. Donc, nous avons l’énergie de la pensée qui coopère avec la personnalité, les trois fonctionnent toujours ensemble, les trois marchent toujours ensemble. S’il y a une maladie, si l’homme marche sans penser, il est dans la schizophrénie ou dans l’absurde. Mais tant qu’il s’agit d’un homme normal, il a nécessairement une idée. Et s’il a une idée, il fait les choses intelligentes adaptées et utiles pour les autres. Quand l’homme est normal, sa normalité s’est vérifiée par les critères de la vie sociale. Quand l’homme est tranquille, personne peut dire quelque chose, qu’il est normal ou qu’il n’est pas normal. C’est quand il s’exprime que les hommes disent, nous voyons dans ce qu’il fait des normes de raisons, de vérité et de valeurs.

Donc, c’est dans l’homme qu’il s’exprime, cela veut dire, qu’il est en relation avec autrui qu’on trouve facilement les critères pour mieux apprécier certains états d’équilibre intérieur. Ce qu’on dit pour les schizophrènes, ce n’est rien exagéré, quand il est schizophrène généralement il évite le contact avec les autres. Quand il est près des hommes, il fuit dans la solitude et quand il est dans la solitude, il fuit : cela fait un va et vient entre les individus et la solitude. Il a peur des individus, il a peur de la solitude, parce que dans l’homme existe le social, s’il est tout seul, tout seul, il n’est pas en sécurité. Notre siècle est malade. Nous sommes très psychotiques sur les bords.

Evidemment, les chefs d’états ne font pas attention à cela, c’est sur ces choses-là qu’il faudrait demander des recherches poussées et que la politique ait le courage de s’attaquer à redresser certaine vie sociale qui amène l’individu à la schizophrénie.

Métro-boulot-dodo amène les humains à devenir des robots et l’élimine de la vie sociale dont il a besoin. Alors, c’est une vie qui isole de plus en plus, qui peut nous amener vers des états psychotiques. On dit encore stress, prochainement, on va dire folie ! La société et son organisation est très dangereuse. Autant qu’on valorise beaucoup l’individu en ce qu’il soit, c’est de la compétition, cela refavorise la schizophrénie. La société est en train de secréter des hommes malades. Il y a de quoi tirer la sonnette d’alarme.

Donc, nous savons que vraiment, il y a une unité dans notre être que nous avons reçu, la pensée par rapport au corps, par rapport de la personnalité, la personnalité par rapport de tout le reste. Il y a vraiment unité chez l’homme et évidemment, la source de l’homme doit être nécessairement une unité. Parce que plus c’est une unité, plus cela sort de là-bas. Je ne fait que recevoir, même s’il y a cette unité dans mon être, il y l’unité qui vient de plus loin. Alors, en partant de l’homme, on est assuré que Dieu est la Source de l’énergie, de la pensée, de la personnalité et qu’il est aussi l’unité de cela.

La révélation par Melchiziédek tournait ailleurs, nous avons vraiment à le tourner sur nos parce qu’ailleurs nous ne pouvons le voir. Il faut tourner les yeux sur deux choses que l’homme peut contrôler, c’est vraiment son être et son cadre de vie. Il faut trouver Dieu là-dedans. 

Dans le Paradis, l’homme ne peut pas encore voir, ce sont des dires, la réalité de la Déité doit lui être présentée en partie de lui, l’homme, Il n’y a rien à faire, si non, tout autre présentation peut être imaginée. Ce n’est pas objectivement solide sur ce plan, il faut une base solide sur quoi maintenant, on peut concevoir clairement Dieu et se mettre à le rechercher aussi. Et concevoir clairement la raison de le chercher, qu’il valide cette raison. Il est la Source de la conscience, personnalité et vie de mon être, alors, si j’ai acquis ceci, je peux demander le pourquoi, il doit le savoir.

Il faut expliquer, il faut justifier sans équivoque au départ pour vraiment arrivée au : OUI, je suis d’accord, je suis vraiment d’accord et il faut répéter la chose tous les jours. La formation spirituelle se répète, la répétition de la même vérité sous des jours nouveaux jusqu’à ce que la personne dit OUI. Ce n’est pas du premier coup. Cela réfléchit avant pour trouver son intérêt et la logique. A partir de là, il se construit dans la manifestation le plus étendue de ce qu’il a perçu, il constate que cela grandit. Et la personne sera entièrement convaincue. Cela ne se fait pas à part, cela ne se fait pas dans un jour ! Et les prêtres et les marabouts ont peur de cette sagesse, c’est une acquisition progressive de la conception de Dieu, de la conscience de Dieu, de l’expérience de Dieu. Ainsi, la personne se mettra au travail et son expérience deviendra très féconde.

Sa foi fonctionne, je sais maintenant, là où je dois le prendre, je sais pourquoi je le prends et comment je le prends, alors je le prends. Donc intégrer les raisonnements et après donc, il est bon de revoir dessus. On peut acquérir mais il faut intégrer et ceci se fait le mieux en répétant. Ces répétitions sont les forces de progressions, de construction claire. Une fois ne suffit pas et ne suffira jamais. On revient pour mieux avancer.

Jésus était tellement obligé de revenir avec ses apôtres que même vers la fin, il avait une teinte de découragement. Dans le livre d’Urantia, vous trouverez : Jusqu’à quand vous supporterais-je ? Il suffit de comprendre. La répétition était nécessaire parce qu’il était déjà dans la phase de fils de Dieu, qu’il voyait les choses avec évidence, mais les hommes sont en train de regarder petit à petit. Il faut donc répéter pour ouvrir ! Ses apôtres étaient lents à comprendre, pour cela : Jusqu’à quand vous supporterai-je ? C’est également le phénomène de progression, chacun son rythme et personne n’a le rythme de l’autre. Ce sont tous des maîtres. C’est cela une relation, on le voit chez les parents, combien de temps Maman Papa redise les choses à l’enfant ?

La poursuite de la connaissance constitue la science ; la recherche de la sagesse est la philosophie ; l’amour pour Dieu est la religion ; la soif de vérité est une révélation ; mais c’est l’Ajusteur de Pensée intérieur qui attache le sentiment de réalité à la clairvoyance spirituelle de l’homme par rapport au cosmos.

En science, l’idée précède l’expression de sa réalisation ; en religion, l’expérience de la réalisation précède l’expression de l’idée. Il y a une immense différence entre d’une part la volonté-de-croire évolutionnaire, et d’autre part le produit de la raison éclairée, de la clairvoyance religieuse et de la révélation ¬ la volonté qui croit.

Dans l’évolution, la religion amène souvent l’homme à créer ses concepts de Dieu. La révélation montre le phénomène de Dieu faisant évoluer l’homme lui-même, tandis que, dans la vie terrestre de Christ Micaël, nous voyons le phénomène  de Dieu se révélant lui-même à l’homme. L’évolution tend à faire ressembler Dieu à l’homme ; la révélation tend à faire ressembler l’homme à Dieu.

La science n’est satisfaite que par les causes premières, la religion, par la personnalité suprême et la philosophie, par l’unité. 

La révélation affirme que les trois sont un et que toutes sont bonnes. L’éternel réel est le bien de l’univers, et non les illusions temporelles du mal spatial. Dans l’expérience spirituelle de toutes les personnalités, il est toujours vrai que le réel est le bien et que le bien est le réel.

4.   LE FAIT DE L’EXPÉRIENCE – P.1123

En raison de la présence de l’Ajusteur de Pensée dans votre mental, il n’est pas plus mystérieux pour vous de connaître le mental de Dieu que d’être sûr que vous êtes conscient de connaître tout autre mental, humain ou suprahumain. 

La religion et la conscience sociale ont ceci de commun : elles sont toutes deux fondées sur la conscience de facultés de penser autres. La technique par laquelle vous pouvez accepter comme vôtre l’idée d’un autre est la même qui vous permet de ” laisser le mental qui était en Christ être aussi en vous “.

Là, aussi, il y a quelque chose de difficile pour les gens, qu’est-ce que c’était ce mental qui était en Christ ? Les gens qui ont parlé de Jésus, tantôt il parlait conne un homme et tantôt il parlait avec son Ajusteur pour un fils Michaël. Cela fait de la confusion, comment voulez-vous que ce mental du fils Michaël nous revienne, ce n’est pas possible. Et dans tous les cas, il n’est plus là, il faut être beaucoup plus clair dans l’explication. Ce que Jésus faisait avec Dieu (les affaires de mon Père), il l’a fait avec son Ajusteur, il l’a dit lui-même.

<Je ne sais pas pourquoi la fondation Urantia voulait accrocher des choses qui sont intéressantes, mais qui colleraient difficilement avec la compréhension humaine. Ils auraient dû s’en passer.>

Vraiment, Jésus, par sa pensée humaine communiquait avec son Ajusteur et chaque homme peut le faire ! L’âme de Jésus, c’est pour Jésus, ces adjuvats, il les a utilisés, son esprit Michaël, c’est une autre affaire.

(1) Qu’est-ce que l’expérience humaine ? (2) C’est simplement l’effet réciproque entre un moi actif et interrogateur, et toute autre réalité active et extérieure. (3) La masse de l’expérience est déterminée par la profondeur de concept, plus le total de la reconnaissance de la réalité de ce qui est extérieur. (4) Le mouvement de l’expérience est égal à la force de l’imagination en expectative, (5) plus l’acuité de la découverte sensorielle des qualités externes de la réalité contactée. (6) Le fait de l’expérience se trouve dans la conscience de soi et de l’existence des autres ­ des choses autres, des mentalités autres, des spiritualités autres.

1) Qu’est-ce que l’expérience humaine ?  On peut dire : je bois de l’eau, je fais l’expérience de la boisson “ eau ”. Si je discute avec une autre personnalité en vue d’une compréhension, je fais l’expérience de ses idées. Je prends connaissance de ses idées, de ses sentiments. Je “ l’intériorise ” à mon niveau au point que je dis : je comprends la personne. Donc, je fais l’expérience de communication avec sa pensée. Bon, l’expérience familiale, c’est d’essayer de coordonner la puissance éducative de la pensée des parents avec la pensée des enfants émergents. Ecouter les enfants qui veulent bien parler, il leur apprend à mieux parler. Les enfants qui veulent marcher, courir, les parents essaient de comprendre les enfants pour leur apporter les satisfactions. Les enfants expérimentent. L’expérience est de partout dans la vie, dans la société, avec les amis, avec ceux-ci, je peux aussi faire l’expérience de la nage, de la course. Donc, faire quelque chose c’est vraiment essayer de vivre la chose dans son être et au niveau où la chose peut être vécue. Si c’est un niveau physique, c’est d0un niveau physique ; si c’est un niveau moral, c’est moral ; si c’est d’un nouveau spirituel, c’est spirituel. Mais, c’est vraiment vivre les réalités dans les niveaux de son être. Vivre pratiquement une chose, dans un langage très simple et clair pour les hommes.

  2) C’est simplement l’effet réciproque entre un moi actif et interrogateur, et toute autre réalité active et extérieure.

C’est simplement, l’effet réciproque entre moi, un être humain actif et interrogateur (qui veut tout savoir), et, toute autre réalité (individu c’est tout) active et extérieure. Cela est la vie courante et tous les jours on fait cela. Nous sommes en train de faire ensemble l’expérience d’un partage spirituel, et, tout le temps, on est pris là-dedans, ce n’est pas exceptionnel, ce n’est pas philosophique ni supra-philosophique du fait que c’est extérieur à l’homme. L’homme vit tout le temps et la vie est une expérience des réalités quotidiennes qui viennent à moi. Donc, il est bon de simplifier la chose.

3) La masse de l’expérience est déterminée par la profondeur de concept, plus le total de la reconnaissance de la réalité de ce qui est extérieur.

La valeur ou la qualité (profondeur de concept) de notre expérience, cela tient à l’importance que nous étudions, donc en profondeur, donc, plus c’est profond, plus l’être interprète profondément. Plus c’est superficiel… évidemment….

Par conséquent le poids de l’expérience ou son intérêt, son importance tient aussi à la profondeur de ce qu’on expérimente. On peut laisser le mot “ mass ”, plus le total de la reconnaissance de la réalité de ce qui est extérieur. Admettre ce que l’autre exprime.

4) Le mouvement de l’expérience (est également sa puissance) est égal à la force de l’imagination en expectative, … (l’attention de celui qui réfléchit et autant que la personne est capable d’attention d’écoute, autant l’expérience aura de la force)

Sauf peut-être qu’il entend par expérience la relation avec Dieu, dans ma relation avec Dieu, l’imagination peut apporter beaucoup ; j’imagine la réaction de Dieu sur moi-même, mais souvent dans une expérience directe d’une personne, l’attention vraiment, tout mon être tendu vers son être, l’attention est encore plus importante que l’imagination, L’imagination va vers des choses que je n’ai pas encore et que j’attends en ce moment-là ; Melchiziedek pense à la relation de l’homme avec Dieu.

L’homme a un état d’imagination, j’interpelle Dieu pour qu’il me donne l’immortalité. Les choses sont vécues dans un certain mouvement ; je demande, mais aussi j’attends et j’ai la réponse, j’ai de l’imagination dans ce cas-là, dans ce rapport. En tout cas, quand il s’agit de Dieu. Ces termes gagneraient tellement en étant précisés et les phrases fournies plus nettement pour que l’individu pourrait retirer un bénéfice.

Donc, le mouvement de l’expérience peut être influencé par l’imagination dans un certain sens, dans l’autre sens, c’est purement de l’attention. Il faut faire attention à ce qui se fait ou ce qui se dit !

5)  Par plus l’acuité de la découverte sensorielle des qualités externes de la réalité contactée. Evidemment, il s’agit de choses intérieures ou s’il s’agit des échanges directs, la réalité extérieure ne compte plus, cela dérange. Si un homme est en train d’embrasser sa femme, l’extérieur cela dérange. Il faut les laisser dans leur intimité en profondeur ! Ce n’est pas bien formulé toutes ces phrases, pour chaque fait, il faut trouver des exemples. Si quelqu’un est en profondeur en liaison avec Dieu. l’extérieur dérange. Il n’a vraiment pas besoin de l’extérieur. Il a besoin d’intériorité. L’échange entre deux personnes ne nécessite pas l’extérieur, c’est dérageant.

6) Le fait de l’expérience se trouve dans la conscience de soi et de l’existence des autres ¬ des choses autres, des mentalités autres, des spiritualités autres.

Ce sont des consciences qui échangent, ce n’est pas existence physique, c’est sa conscience qui me parle. Si je communique avec Dieu, l’expérience est autant plus intéressante, parce que je perçois que Dieu est bon. Cela est important. Si l’individu fait ce travail et qu’il n’obtient rien de Dieu, il n’est pas tellement porté à l’affaire. En enseignant à une personne, il faut que la compréhension de la chose amène à une pratique où il va tirer quelque chose, parce que c’est le résultat qui va encore augmenter l’âme. S’il ne dit rien, nous pouvons nous décourager.

(1) L’homme devient très tôt conscient qu’il n’est seul ni dans le monde ni  dans l’univers. (2) Il se développe une prise de conscience naturelle et spontanée de mentalités autres dans l’entourage de l’individu. (3) La foi transforme cette expérience naturelle en religion, en récognition de Dieu comme réalité ­ source, nature et destinée  du mental de l’autre, mais cette connaissance de Dieu est toujours une réalité de l’expérience personnelle. (4) Si Dieu n’était pas une personnalité, il ne pourrait devenir une partie vivante de l’expérience religieuse réelle d’une personnalité humaine.

1) L’homme devient très tôt conscient qu’il n’est seul ni dans le monde ni dans l’univers. Je ne sais pourquoi dans ces constructions, il met (Melchiziedek) toujours des vérités qui ferait qu’une phrase à la fois. Dans sa syntaxe, c’est souvent trop mélangé.

L’homme n’est pas seul dans le monde, il vient d’une famille, mais pour l’univers, c’est moins sûr ! C’est une supposition ou une hypothèse. Et la famille fait partie d’une société, l’homme ne s’est pas fait lui-même sur la terre. L’Univers, c’est une affirmation qui n’a pas été étayée.

2) Il se développe une prise de conscience naturelle et spontanée de mentalités autres dans l’entourage de l’individu. Oui, bien sûre déjà dans sa famille ; l’enfant prend conscience de son Papa, sa Maman, ses frères et sœurs. Il est né comme un être social, il vit toujours dans un environnement, en vivant seul, il n’irait pas très loin, donc, il vit dans un cadre et c’est au sein de ce cadre qui va lui apporter ce qu’il lui faut. Donc, il ne peut pas ignorer ce cadre, c’accord ?

3) La foi transforme cette expérience naturelle en religion, en récognition de Dieu comme réalité ¬ source, nature et destinée -¬ du mental de l’autre, mais cette connaissance de Dieu est toujours une réalité de l’expérience personnelle. (Cela va vite cette transformation-là ; l’amour de son père et de sa mère est transformé en foi ! Comment l’expérience dans la société peut de suite de transformer en foi ? C’est la confiance en l’autre qui peut exister, mais ce n’est pas encore la foi. Le fait de vivre dans son entourage, cela surgit et le transforme, cela est très vite ! Melchiziédek ne sait pas ce qu’il dit-là, il ne peut pas le savoir)

Et quand l’individu a déjà connu Dieu en lui, il peut avoir la foi. Comme Melchiziédek le dit on pourrait supposer que Jésus n’aurait pas eu besoin de venir, que la société installe de suite la foi !

L’homme a besoin de trouver Dieu en lui, reconnaître que les adjuvats viennent de Dieu, sa personnalité, s’il se rend compte, il le voit dans sa vie et si l’homme a reconnu que tout cela il l’a reçu de Dieu, il peut construire une relation de foi avec Dieu. Ce n’est que là que la fois est possible. Mais l’homme a trouvé la foi autrement que de regarder les autres hommes. Quand l’homme connaît vraiment comme il est fait par Dieu, oui, il est facile de concevoir les autres aussi des enfants de Dieu. Si l’homme comprend comment la foi émerge en lu, il peut comprendre que les autres aussi pourront arriver à ceci !

S’il n’a pas compris le rapport de lui et de Dieu, je ne vois pas comment les autres puissent lui donner la foi. Mais cette connaissance de Dieu est toujours une réalité dans l’expérience personnelle, c’est la connaissance de Dieu qui détermine la foi.

4) Si Dieu n’était pas une personnalité, il ne pourrait devenir une partie vivante de l’expérience religieuse réelle d’une personnalité humaine.

Tout cela, nous l’avons déjà étudié dans le 4e séminaire, dans le 6e que Dieu est une personnalité, mais comme Melchiziédek le présente ici, il ne précise pas ce qu’il présente ! 

Dieu est une personnalité ou une pré-personnalité, nous l’avons déjà rencontré. Mais comme c’est présenté ici, il manque l’explication. (Il faut bien rappeler à l’étudiant que ceci à déjà été travaillé). Dieu est personnalité parce qu’il est source de personnalité, il ne peut donner que ce qu’il n’est pas. Si Dieu nous a donné la personnalité au moins, la personnalité fait partie de Dieu et fait toujours partie de Dieu parce qu’il en donne toujours. 

Certainement, dans le rapport de comparaison, sa personnalité est infiniment plus grande que la nôtre. Donc la personnalité qui vient de Dieu est faite pour connaître Dieu et pour le comprendre. La personnalité est sensible aux qualités et aux valeurs, la nature marche ! Ma personnalité aussi, c’est l’être sensible aux qualités et valeurs. Alors, si Dieu nous l’a donné, c’est qu’il en a dans sa personnalité, si sa personnalité est aussi sensible aux qualités et aux valeurs, vraiment, nous le sommes. Nous aimons les enfants que nous mettons au monde, moralement, ce sont des qualités d’êtres parents. Ce que nous donnons la société, c’est aussi de la moralité. Notre personnalité est vraiment sensible aux qualités et valeurs. La vie n’est agréable pour l’homme seulement quand il la vit avec qualité et valeurs. Cela vient de Dieu, donc Dieu aussi est naturellement sensible aux qualités et aux valeurs.

À vérifier !

1er – Etude de la Création2e – Etude de l’EGO3e – L’Implantation de la vie sur terre
4e – Ajusteurs de Pensée5e – Approfondissement des adjuvats6e – L’Ajusteur et l’âme
7e – L’administration divine progressive8e – L’égo – L’Individu9e – Etude de la Personnalité
10e – Etude approfondie de la FOI11e – La Nature de Dieu12e – Les 7 cercles psychiques
13e– La prière14e – L’administration divine du transfert15e – Les fondements de la foi religieuse
16e – La Survie – extraits du livre17e – La réalité de l’expérience religieuse18e – Etude de la Femme et de l’Homme
19e – Résumé chronologique d’URANTIA20e – Esprit Infini – Esprit maternelle21 – Les personnalités du Grand Univers
22- JE SUIS – les 7 Absolus de DieuAdieu Moussa Ndiaye